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L’économie circulaire (EC) est définie comme « un système économique qui représente un changement de paradigme dans la manière dont la société humaine est en relation avec la nature et qui vise à prévenir l’épuisement des ressources, à fermer les boucles énergétiques et matérielles et à faciliter le développement durable » (Prieto-Sandoval et al., 2018). Bien que la notion d’EC ait plus de 50 ans, le déploiement du modèle circulaire est graduel et l’économie mondiale n’est circulaire qu’à hauteur de 7,2 %.
La formation des juristes et la recherche en droit ont subi d’importantes transformations au cours des dernières décennies. Loin derrière se trouve l’époque des années 1950-1970, au cours desquelles la recherche en droit était considérée avec « dédain et méfiance » par la communauté juridique (CRSH, 1983; Émond, 2012), alors que les enseignements universitaires étaient concentrés sur le partage de savoirs essentiellement techniques (CRSH, 1983). 
L’innovation renvoie à l'idée de concevoir et de réaliser quelque chose de nouveau : une nouvelle organisation du travail, perspective d'intervention, structure ou technologie, etc. Trois enjeux entourant les dynamiques d'innovation dans le secteur public sont abordés ici :
Avec les progrès de la technologie, un large éventail de pratiques quotidiennes sont davantage numérisées, rendant les frontières entre les espaces hors ligne et en ligne plus floues que jamais.
Les processus et les dispositifs de communication médiatique, organisationnelle et scientifique prennent de plus en plus de place dans le secteur de la santé et du soin. Les problématiques propres aux sciences de la communication sont aussi de plus en plus mobilisées : approches de l’espace public remettant en question la démocratie en santé ou analyses de la communication marketing se concentrant sur les campagnes de prévention.
Ce colloque a pour but d’étudier l’apport des processus d’information et de surveillance dans la reproduction sociale par le biais de pratiques de médiations quotidienne d’ordre communicationnel et informationnel. Depuis la fin du 20e siècle, plusieurs chercheurs ont lié l’apparition de la société moderne à des problématiques de surveillance et de contrôle en tant que partie intégrante de la dynamique sociétale.
Le programme des habitations à loyer modique (HLM) de la Société d’habitation du Québec (SHQ) vise principalement à améliorer les conditions de vie des personnes et des familles socioéconomiquement défavorisées en représentant pour celles-ci un moyen d’indépendance économique (Leloup et Germain, 2008). Praticiens et chercheurs ont constaté au cours des dernières années des changements majeurs dans la composition de la clientèle des HLM, ce qui contribue à en complexifier les pratiques en matière de gouvernance, de gestion et d’intervention sociocommunautaire.
Treize ans après le « printemps arabe », ponctués de lectures multiples et de bilans inattendus, il est impératif de développer aujourd’hui des analyses plus nuancées pour enrichir la compréhension des phénomènes politiques et sociaux liés au monde arabe actuel, redresser certaines perspectives, combler certaines lacunes existantes en la matière et déconstruire certains préjugés largement répandus.
La capacité, voire la légitimité, de notre monde à durer est mise à l’épreuve, autant par son insoutenabilité écologique que par l’ampleur de ses injustices sociales. L’importance de ces défis génère des tensions et une polarisation politiques croissantes qui interrogent le rôle des savoirs dans nos choix pour notre avenir commun. Pour construire d’autres horizons politiques pour ce XXIe siècle déjà mal engagé, quels savoirs est-il nécessaire de reconnaître, de construire, de mobiliser, et comment ?
Si les premiers penseurs des sciences sociales des religions (Tylor, Durkheim) se sont d’abord penchés sur les sociétés dites « primitives », c’est parce qu’implicitement ils assimilaient culture et religion. Les travaux de Weber sur les liens entre religion et système économique participent de cette perspective, bien qu’élargissant la notion de culture. Les études sur les monothéismes et leurs prétentions universalistes amènent toutefois à s’interroger sur l’articulation entre le religieux et le culturel.
Les problèmes publics peuvent être liés à différents domaines de la société tels que l’écologie, la sécurité routière, etc. Dans le cadre de ce colloque, nous nous intéressons plus spécialement aux problèmes publics du domaine social (par exemple : la pauvreté, la toxicomanie, l’itinérance, le chômage, la maltraitance des enfants, la violence faite aux femmes, le racisme, etc.) que nous proposons d’appeler ici problèmes sociaux.
Au contexte d’une saine gestion des deniers publics, d’une répartition équitable des ressources et de l’optimisation de la qualité des services, s’ajoute, à notre avis, l’enjeu de reconnaître pleinement les pratiques d’intervention de proximité (IP) pour leurs apports dans l’intervention sociale auprès des communautés en situation de vulnérabilité, de marginalisation, de désaffiliation ou de faible développement économique.
L’itinérance est un phénomène complexe marqué par l’intersection de facteurs structurels, institutionnels et interpersonnels. Les personnes racisées, immigrantes, autochtones, en situation de handicap et LGBTQ+ révèlent différents visages de l’itinérance et des expériences multiples d’oppression et de discrimination. Pour répondre de manière sensible et anti-oppressives aux enjeux vécus par des groupes à la croisée des oppressions, il importe de repenser les méthodes de recherche et d’intervention en matière d’itinérance.
« Les communs sont partout ! » observaient déjà plusieurs auteurs et autrices au tournant du 21ᵉ siècle (Dardot et Laval, 2014; Federici, 2019). Le constat de l’utilisation du terme « communs » dans divers contextes, allant de la guerre de l’eau à Cochabamba, en Bolivie, au mouvement altermondialiste, ainsi qu’aux occupations de places comme à Wall Street et Ghezi à Istanbul, a suscité l’intérêt de la recherche pour ce thème.
Dans les dernières années, ici et ailleurs dans le monde, plusieurs équipes de recherche se sont intéressées aux initiatives qui permettent aux enfants et aux familles vivant en contexte d’adversité (c.-à-d., qui sont exposés, par exemple, à de l’instabilité économique ou résidentielle, à de l’abus, à de la négligence, à de la violence familiale ou à des environnements communautaires dits « toxiques »; Ellis et al., 2017) de pratiquer des activités artistiques au sein de leur communauté.
Malgré un contexte politique marqué par le développement de plans de lutte nationaux (Canada, 2012; Brésil, 2007; É.-U., 2013) et internationaux contre les formes d’exploitation au travail dénoncées sous le registre de l’esclavage moderne, le marché mondial du travail reste traversé de formes d’exploitation au travail combattues par ces plans : exploitation sexuelle, travail forcé, travail infantile ou encore servitude pour dettes.
Le colloque sollicite des spécialistes de plusieurs horizons disciplinaires afin de cerner la nature de la mutation du catholicisme québécois dans sa mobilisation actuelle, voire son nouvel engouement pour la « mission ». Les interrogations porteront sur la pertinence sociale, historique, politique et théologique de l’orientation du catholicisme vers la mission au Québec. Seront étudiées les significations sociales de cette réorientation pastorale, ainsi qu’examinées les bases sociales à partir desquelles une telle mission cherche à se déployer.
Le Québec compte plus de 1000 collectivités rurales couvrant 90 % du territoire habité, dans lesquelles vit environ le quart de la population québécoise. Plusieurs de ces municipalités se portent bien, tandis que d’autres sont considérées comme dévitalisées. Quoi qu’il en soit, les collectivités rurales ont connu depuis les 20 ou 25 dernières années de nombreuses transformations tant sur le plan social, économique que politique. Elles ont également été le théâtre de multiples expériences novatrices visant à les redynamiser.
Montréal constitue un véritable laboratoire de recherche sur la ville. En cette année de son 375e anniversaire, ce colloque, organisé par le Centre de recherche sur la ville, antenne Université du Québec à Montréal (UQAM) du Réseau Villes Régions Monde, y est entièrement consacré. Il porte plus spécifiquement sur les mutations que cette ville a connues au cours des 15 dernières années, en mettant l’accent sur quatre grandes thématiques.
L’apport de l’entrepreneuriat culturel et créatif à l’économie locale, mais également mondiale, est de plus en plus important, contribuant ainsi au développement économique et social de la société (Anderson et al., 2014).
La thématique retenue dans le cadre de ce colloque porte sur l’apport de la recherche et du développement des pratiques pour favoriser l’inclusion des personnes autistes* ou présentant une déficience intellectuelle (DI). Avec l’adoption des objectifs de développement durable et de l’agenda « Ne laisser personne de côté », il y a un élan mondial pour garantir que les groupes marginalisés, notamment les personnes autistes ou présentant une DI, soient inclus et pris en compte dans les principaux efforts de développement (ONU, 2023).
Suivant la généralisation de la communication marketing à toutes les sphères d’activité, Internet et le Web social sont marqués par la sphère marchande. La socialisation électronique a amené de nouvelles normes et formes de socialisation.
Depuis les années 1980-1990, s’observe un tournant quant à l’institutionnalisation des mémoires du passé énoncées au présent. Bien que les dispositifs visant la restitution mémorielle et la reconnaissance d'injustices historiques varient, il est courant d'observer les processus d’éclaircissement de la vérité ou les politiques de réparation des torts subis faire directement appel aux témoignages publics des survivants, de leurs proches ou de leurs descendants.
Forts de notre franc succès de l’an dernier sur le thème de la veille stratégique, nous le reprenons cette année tout en l’orientant sur des contenus et des échanges consacrés à l’innovation. Dans un monde caractérisé par le foisonnement des échanges communicationnels façonné et supporté par les nouvelles technologies, l’innovation devient l’objet de nouveaux et nombreux enjeux et défis. Parmi ces derniers, la mise en place d’une gouvernance d’entreprise valorisant la pratique de veille stratégique pour innover devient incontournable.
Depuis le tournant du siècle, nous sommes en présence d’une crise de type civilisationnel qui transforme en profondeur les milieux de vie ruraux. Cette crise présente une double dimension, sociétale et écologique, qui modifie les liens des collectivités locales à la globalité et qui fragilise les communautés rurales tout en ouvrant de nouvelles perspectives.