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La violence intrafamiliale est particulièrement difficile à comprendre par la majorité des gens. De plus, les personnes qui vivent de la violence conjugale ou sexuelle dans leur famille éprouvent très souvent de la difficulté à en parler et surtout à demander de l’aide.
Globalement, la santé mentale représente un état de bien-être complet qui permet de jouir de la vie et de gérer les défis du quotidien (Doré et Caron, 2017). La santé mentale est un enjeu mondial et sociétal, individuel, mais aussi collectif puisque son influence s’étend à la communauté générale. C’est aussi une ressource primordiale pour maintenir une bonne santé en général.
Dans un contexte de volatilité, d’incertitude, de complexité et d’ambiguïté (Nandram et Bindlish, 2017), les tensions qui émergent dans les démocraties suscitent divers bouleversements. Ces bouleversements qui se manifestent à notre époque poussent plusieurs acteurs sociaux à mobiliser la notion de vivre-ensemble comme cadre normatif de vie en commun. Ces positionnements normatifs interpellent les chercheur.e.s depuis plus d’une décennie (voir, par exemple, Perraton et Bonenfant, 2009).
La thématique environnementale et celle corrélative de la crise écologique ont acquis une centralité incontournable dans l’économie générale des discours publics contemporains. La quasi-totalité des disciplines des sciences naturelles, des sciences formelles et des sciences humaines et sociales s’en sont saisies sans que cette profusion de production savante soit en prise directe avec l’univers concret des politiques publiques et des pratiques citoyennes.
Partant du titre du célèbre texte d’Audre Lorde, féministe lesbienne noire états-unienne, ce colloque entend mettre en question les modalités de construction et de transmission des savoirs, connaissances et praxis des groupes marginalisés, qui sont construits comme des problèmes sociaux dans différents contextes.
La pandémie de COVID-19 a provoqué des bouleversements majeurs dans le rapport que les citoyens entretiennent avec leurs institutions, qu’elles soient politiques, sociales, de santé ou encore dans leur rapport à la sécurité. Dans un contexte de sidération provoqué par la COVID-19 et d’une mise à distance de nos activités et interactions sociales, l’information, son cadrage et sa médiatisation se sont avérés fondamentaux pour faire sens et interpréter notre environnement.
L’analyse d’impact réglementaire (AIR) est entendue comme une démarche évaluative systématique visant à apprécier les effets positifs et négatifs des projets de réglementations publiques. Cette méthode de recherche s’inscrit dans une tendance généralisée, autant pour les pays développés que ceux en voie de développement, car on constate que les politiques gouvernementales peuvent avoir des effets collatéraux importants sur la compétitivité des entreprises.
La pandémie de COVID-19 et les mesures prises par les gouvernements partout dans le monde pour y faire face ont eu une incidence économique significative, notamment sur le marché de l’emploi. À l’échelle mondiale, les femmes ont été plus durement touchées par cette crise que les hommes, notamment dans les pays à revenus faibles ou intermédiaires. Plus de 90 % des femmes dans ces pays travaillent dans le secteur informel, qui concentre les emplois les plus précaires.
Les peuples autochtones se sont imposés comme des acteurs incontournables au Canada. Leurs mobilisations politiques et sociales ont abouti sur des avancées majeures sur le plan de la reconnaissance de leurs droits fondamentaux et de leurs droits ancestraux. Elles ont aussi amené les Canadiens à faire face à des aspects de leur histoire longtemps occultés, comme ce fut le cas pour les écoles résidentielles.
Le financement des entreprises est caractérisé par le problème de l’asymétrie d’information, car, en comparaison avec les dirigeants de l’entreprise, les bailleurs de fonds disposent d’une moins bonne connaissance de la qualité du projet financé. La responsabilité sociétale des entreprises (RSE), formalisée par les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), exige des entreprises qui s’engagent dans une telle démarche de divulgation des informations qui peuvent s’avérer utiles pour les investisseurs dans leurs choix d’investissement.
Au Québec, les mesures de soutien aux personnes proches aidantes ont, jusqu’à présent, été mises en place au moyen de politiques et de plans d’action dont l’objectif premier était notamment de favoriser le mieux-être des personnes âgées, d’améliorer le soutien à domicile ou encore de mettre les aînés et leur maintien dans leur milieu de vie au cœur des préoccupations gouvernementales.
Des méthodes de formation telles que l’apprentissage par l’action (Argyris et Schön, 1974, 1995) ou le codéveloppement professionnel (CDP) (Payette et Champagne, 1997) se distinguent d’une approche de formation classique, car leurs dispositifs utilisent des situations concrètes rencontrées au travail qui sont le matériau à partir duquel les personnes apprennent. Payette et Champagne (2010) définissent le CDP comme une approche de formation qui mise sur les interactions de groupe pour favoriser le renouvellement des pratiques.
Au cours des dernières décennies, le contenu et les conditions d’exercice du travail se sont profondément transformés : changements techniques et organisationnels importants; reconfiguration des conflits et des rapports sociaux de travail; modifications des arrimages entre la vie professionnelle et la vie privée; transformations des repères spatiaux et temporels de l’activité.
En conjuguant les perspectives de l’économie circulaire (EC) et de l’innovation sociale (IS), ce colloque vise à explorer une approche intégrée pour répondre aux défis environnementaux, économiques et sociaux actuels. L’EC, bien au-delà de la gestion des ressources, implique une transformation systémique des modes de production et de consommation. De son côté, l’IS propose des arrangements innovants et inclusifs pour repenser nos systèmes socioéconomiques et favoriser une transition juste.
Ce colloque explore les enjeux culturels et médiatiques associés aux phénomènes sportifs contemporains. En rassemblant des chercheurs issus de diverses disciplines en sciences humaines et sociales, le présent colloque abordera des thématiques émergentes dans le milieu universitaire francophone.
Dans le cadre du 83Congrès de l’Acfas, nous souhaitons répondre à l’appel des organisateurs à sortir des sentiers battus en proposant de réunir chercheurs et acteurs du développement afin de discuter de la place de la qualité de vie culturelle dans le choix d’établissement et d’attachement au lieu de résidence, et ce, hors des grands centres urbains. Une telle réflexion est d’autant plus pertinente que le colloque de l’Acfas se tient cette année à Rimouski, ville régionale reconnue pour son dynamisme culturel, ce qui en fait un cas d’étude pertinent.
Bien que les pratiques philanthropiques aient une longue histoire en Occident, elles ont été peu étudiées au Canada et au Québec. Des travaux québécois et français sur le don ont certes permis des développements théoriques importants, cependant les formes institutionnalisées de la philanthropie, dont les fondations subventionnaires privées ou communautaires, ont fait l’objet de peu d’études.
La réalisation des projets de couple et familiaux constitue des préoccupations importantes des individus contemporains. Ces projets font l’objet de représentations sociales produites par plusieurs sources (médias, psychologie populaire, conseils sur Internet). Celles-ci proposent des modèles et fournissent des supports à des imaginaires alimentant les scénarios personnels, créant des attentes qui se heurtent aux réalités quotidiennes, entraînant souvent désillusions et déceptions, pouvant aller jusqu’à remettre en cause le maintien de projets initiaux.
L’itinérance est un phénomène complexe qui est caractérisé par des facteurs interpersonnels, systémiques et structurels. Saisir la complexité des trajectoires exige une conception de l’itinérance qui prend en considération la pluralité des intersections et des oppressions vécues. Autant les milieux de la recherche que de la pratique au Québec reconnaissent que l’itinérance ne peut se réduire uniquement à une conception centrée sur l’absence d’un toit.
Depuis les attentats du 11 septembre 2001, la recherche scientifique sur les phénomènes de violence(s) politique(s) et de terrorisme(s) a connu un très fort développement en termes « de quantité, de périmètre et de diversité » (Crenshaw 2011). Alors qu’on constate un foisonnement des écrits scientifiques dans le monde anglo-saxon, l’étude de ces phénomènes demeure plus confidentielle et fragmentée au sein du monde universitaire francophone.
Les violences faites aux filles et aux femmes (VFFF) constituent un problème social et de santé publique majeur, reconnu internationalement, qui demeure aujourd’hui au cœur des préoccupations militantes, universitaires et gouvernementales. Beaucoup d’efforts ont été faits ces dernières années pour les rendre plus visibles. Les différentes vagues de dénonciation #MoiAussi ont grandement contribué à leur dénonciation publique.
En dépit d’avancées notables dans la promotion de l’égalité des genres au Canada, les manifestations de violences à l’encontre des filles et des femmes subsistent sous différentes formes.
Les cadres de compréhension collective et les travaux sur les violences sexuelles suggèrent que le consentement sexuel est un facteur déterminant dans la problématique des violences sexuelles. Au Québec, le consentement sexuel, conçu comme un processus complexe, fluide et dynamique de négociation continuelle entre les partenaires impliqué·es dans une interaction sexuelle, fait partie des contenus obligatoires intégrés au programme Culture et citoyenneté québécoise (Ministère de l’Éducation, 2024).