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En raison des contraintes environnementales et économiques, plusieurs laboratoires internationaux ont entrepris des travaux sur la valorisation de la biomasse dans des produits écologiques. Par ailleurs, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) considère la biomasse comme une solution pour le développement ou l’amélioration des bioproduits en remplacement de ceux issus des carburants fossiles ou de procédés industriels polluants.
En trois décennies, la situation énergétique mondiale est devenue une préoccupation majeure des décideurs politiques, mais aussi des scientifiques et de l’ensemble des populations. La prise de conscience croissante de l’absolue nécessité d’utiliser les ressources énergétiques de manière plus durable et de développer de nouvelles technologies plus efficaces énergétiquement a créé de nouveaux défis. Au Canada, les secteurs primaire et manufacturier de l’industrie consomment à eux seuls pratiquement la moitié de l’énergie totale.
L’approvisionnement énergétique des communautés éloignées et des communautés nordiques, comme celles du Nunavik et du Nunavut, repose essentiellement sur les combustibles fossiles tant pour la production d’électricité que pour le chauffage des espaces. Or, la demande en énergie est appelée à croître dans ces régions en raison de l’augmentation et de la construction de nouvelles habitations.
La multiplication des mines en roche dure avec des teneurs relativement faibles a entraîné ces dernières années l’augmentation significative de la production de rejets solides. La gestion des résidus (rejets de concentrateur) et des roches stériles soulève cependant d’importants défis opérationnels et techniques, incluant ceux liés à leur stabilité physique ainsi qu’aux risques de génération de drainage minier acide (DMA) ou de drainage neutre contaminé (DNC). Plusieurs exemples récents nous rappellent que ces risques sont bien réels.
Dans la dernière décennie, on a pu constater une prise de conscience collective des populations, des scientifiques et des politiques envers les enjeux environnementaux. Ainsi, une exploitation durable et responsable des métaux émergents devient une priorité. En effet, ces métaux se trouvent être nécessaires dans le monde d’aujourd’hui et de demain, car présents dans l’électronique, les batteries des véhicules électriques, etc.
La chimie des produits naturels connaît un regain d’intérêt sans précédent après avoir été délaissée pendant des années. Ce regain tient à la possibilité d’étudier de nouveaux organismes autrefois inaccessibles, aux structures inédites trouvées dans la nature et aux nouvelles technologies analytiques, qui permettent l’identification rapide de nouvelles substances naturelles dans des extraits complexes à des concentrations très basses.
Le Nord est l’objet de changements globaux cumulatifs sans précédent imputables à la hausse de la température de l’air, à l’augmentation des précipitations et à l’accroissement de la pression anthropique entraînant des transformations significatives des géoécosystèmes. Il existe une grande hétérogénéité spatiale, tant dans la vitesse et la magnitude de ces changements environnementaux que dans la réponse des géosystèmes et des organismes vivants. Du fait d’interactions biotiques et abiotiques parfois complexes, notre capacité de compréhension et de prédiction est très restreinte.
La dégradation de la qualité microbienne de l’eau dans les systèmes d’eau chaude et froide est reconnue comme une source importante d’infections, particulièrement pour les personnes vulnérables. Au Québec, des éclosions en milieu hospitalier ont été associées à des pathogènes hydriques tels que Legionella, Pseudomonas aeruginosa, Stenotrophomonas maltophilia, et Serratia marcescens. Les systèmes d’eau des établissements hospitaliers présentent des sites d’amplification et de transmission de résistances multiples aux antibiotiques.
Le Canada est reconnu pour le développement de nouvelles technologies de télécommunications. Le Canada est aussi reconnu comme étant un vaste pays. En 2016, le Conseil de la radiodiffusion des télécommunications canadiennes (CRTC) a déclaré que l’accès à Internet était un service essentiel et a établi des vitesses minimales. Depuis quelques années, plusieurs paliers gouvernementaux ont investi des milliards de dollars pour améliorer les infrastructures hors des grands centres urbains.
Les matériaux fonctionnels avancés peuvent jouer un rôle essentiel pour la progression responsable des technologies et le développement durable de notre société. De la décontamination de l’environnement à la production d’énergie renouvelable, en passant par la valorisation des ressources et l’agriculture, les nouveaux matériaux ouvrent la porte à des applications novatrices ou augmentent la performance des procédés actuels pour nous permettre d’atteindre les différents objectifs de développement durable (ODD) établis par l’ONU.
Les applications de nouvelle génération dans diverses industries, allant de l’électronique à la santé en passant par l’énergie et les technologies environnementales, exigent de plus en plus l’utilisation de polymères fonctionnels. Ces matériaux polyvalents présentent une capacité remarquable à s’adapter et à améliorer leurs propriétés, ce qui les rend indispensables pour les innovations de pointe.
Les eaux souterraines jouent un rôle crucial dans le cycle global de l’eau et dans le fonctionnement des écosystèmes. Elles sont aussi de plus en plus utilisées pour l’approvisionnement en eau potable des populations, pour l’agriculture et dans les industries. Ces activités peuvent par contre avoir des effets sur les eaux souterraines. La gouvernance, la gestion et la protection des eaux souterraines font donc l’objet de débats et d’inquiétudes, au Québec comme ailleurs, en raison des risques potentiels de contamination et de surexploitation de la ressource.
Considérant l’intensité et la rapidité sans précédent des changements climatiques, la santé des forêts est plus que jamais menacée, et plus particulièrement en l’absence de mesures de gestion efficaces et rapidement mises en place. En tant que réservoirs de biodiversité, sources de bienfaits culturels et environnementaux, milieux naturels de stockage de carbone et de production de bois, les forêts jouent un rôle majeur dans la lutte contre les changements climatiques.
La sécurité routière est un enjeu crucial pour tous les usagers, qu’ils soient conducteurs, passagers, cyclistes, piétons ou utilisateurs d’appareils de micromobilité électrique. Au Québec, les accidents de la route constituent une cause majeure de mortalité et de blessures. En 2022, la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) a recensé plus de 31 000 accidents ayant entraîné des blessures, dont 346 mortels, touchant particulièrement les usagers vulnérables comme les piétons et les cyclistes.
Au cours des dix dernières années, l’industrie forestière au Québec a été confrontée à une réalité économique difficile, ce qui a mené à une réduction de la demande pour les produits traditionnels du bois. Cette conjoncture a stimulé le développement de nouveaux produits d’origine lignocellulosique provenant du bois et de la fibre de bois, augmentant ainsi l’importance de l’industrie des matériaux d’origine lignocellulosique pour l’économie québécoise.
L’ère de l’information a chamboulé l’étude du comportement animal. Tout comme vous pouvez maintenant utiliser votre téléphone intelligent pour communiquer à travers le monde, analyser votre santé au quotidien et suivre l’actualité de votre réseau social, les éthologues utilisent des technologies similaires pour une meilleure compréhension du comportement animal. Le colloque proposé explorera les usages multiples de ces technologies en éthologie.
Par rapport aux combustibles fossiles, la biomasse forestière apparaît comme une source d’énergie écologiquement responsable. Elle est considérée par plusieurs organismes internationaux comme un outil important dans la lutte aux changements climatiques. De plus, elle représente pour de nombreux acteurs et décideurs locaux une occasion de développement régional, de revitalisation du secteur forestier et de participation au commerce international.
Les nouveaux matériaux sont à la source des nouveaux développements technologiques. L’histoire est riche d’exemples où l’apparition d’un nouveau matériau a conduit à des changements sociaux et économiques marqués. Les enjeux restent les mêmes aujourd’hui, sauf que les avancées, malgré leur complexité accrue, se font beaucoup plus rapidement et dans tous les domaines technologiques. La science des matériaux est fondamentalement multidisciplinaire, ce qui rend les interactions entre chercheurs plus difficiles.
La surexploitation, la récolte sélective, la pollution, l’invasion par des espèces exotiques et les changements climatiques représentent des défis de taille pour la persistance des populations animales sauvages. Ces bouleversements, majoritairement causés par l’Homme, mènent certaines espèces au gouffre de l’extinction. La littérature suggère toutefois que d’autres espèces s’ajustent ou modifient leur distribution pour fuir vers des environnements plus favorables; d’autres encore pourraient devenir surabondantes, voire nuisibles.
Au cours des dernières décennies, l’astrophysique a révolutionné notre compréhension de l’Univers. Nous savons maintenant que notre Univers est principalement constitué de matière noire et d’énergie noire, responsables respectivement de la formation des galaxies et de l’expansion accélérée de l’Univers. Pour la première fois, des ondes gravitationnelles provenant de la fusion de trous noirs binaires ont été détectées, et les régions les plus internes des trous noirs à proximité ont été imagées.
Le stockage et la séquestration de carbone en milieu marin offrent une option naturelle pour la mitigation des changements climatiques. Les écosystèmes marins considérés comme des puits de carbone sont appelés écosystèmes à carbone bleu.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) rassemble dans son dernier rapport les signes indicateurs que les émissions de gaz à effet de serre (GES) anthropiques contribuent aux changements climatiques globaux. Ces changements auront des conséquences néfastes sur les systèmes naturels et humains. La compensation de nos émissions permettrait la continuation de nos activités tout en limitant les impacts sur les écosystèmes.
L’industrie animale, autrefois considérée comme locale, a subi une modernisation et une internationalisation notables qui lui ont conféré un rôle économique et social prépondérant dans notre société. Afin de répondre aux besoins de cette modernisation et d’améliorer la productivité des élevages, les animaux d’élevage ont subi une pression sélective intense. Ces changements, combinés à l’optimisation des méthodes d’élevage, ont permis de décupler le rendement des fermes animales. Toutefois, la sélection de certains critères a été faite au détriment de la fertilité.
Conditionnée par les exigences environnementale, économique et politique, la tendance des marchés de la construction montre un intérêt croissant pour l’utilisation des écomatériaux. Toutefois, ces matériaux devront répondre aux critères socioenvironnementaux et techniques exigés pour les matériaux de construction tels que : la diminution de l’empreinte écologique, la durabilité, les performances techniques (acoustique, thermique, poids, etc.), le coût de production, la sécurité de leur installation, etc.