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Les périodes de crises apportent un changement de paradigme dans plusieurs domaines et la cybersécurité n'y échappe pas. L'histoire des 100 dernières années regorge d'exemples de points de bascule suite à des événements majeurs ou des catastrophes de toutes sortes. Ainsi, à ce moment critique nous avons une occasion de réfléchir aux enjeux en transformation et aux opportunités de recherche qui en découlent. Ce colloque souhaite être un lieu de discussion sur l'avenir de la recherche francophone en cybersécurité.
Avec les années, les programmes et politiques du VIH en sont venus à n’observer, n’investiguer et n’évaluer que certaines populations à risque convenues. Or, l’épidémie change, et des sous-populations à risque se révèlent concernées, mais peu touchées par les politiques et programmes. Comment réinventer, reconstruire et réorienter pertinemment les politiques, les recherches et les programmes de prévention du VIH pour que les cadres de financement des actions arrivent à une intervention meilleure qui touchera l’épidémie en son cœur?
Depuis plusieurs années, la question de l’impression 3D est reprise par les médias et les réseaux sociaux, où nombre de vidéos sur des technologies « révolutionnaires » circulent. Mais entre le rêve de l’impression 3D transformant la réalité et la réalité elle-même, on observe un écart important. L’utopie de l’impression 3D avec laquelle chacun pourrait imprimer chez soi ses objets du quotidien se trouve trop souvent mise en avant dans le discours sur l’impression 3D.
Apparue aux États-Unis dans les années 1980, l’éthique du care est une manière de penser la morale fondée sur le souci des autres (sollicitude) et l’acte de « prendre soin » (Brugère, 2011). Fondée sur un sentiment de responsabilité à l’égard d’autrui et de ses besoins, elle concerne les tâches de soin impliquées dans les diverses formes de vulnérabilité (soin parental, traitement de la dépendance, travail social).
Arrimer l’accessibilité universelle dans les musées aux besoins réels des personnes vivant avec des incapacités (PAI) est un défi de taille. Les solutions issues de la recherche comme de la pratique n’ont pas toujours de sens aux yeux des différents acteurs impliqués. Force est de constater qu’il ne suffit pas d’offrir des services, de créer des activités de médiation ou de produire des données scientifiques pour susciter un changement de pratique.
La pandémie de COVID-19 a exercé des effets dévastateurs sur les artistes et sur l’écosystème culturel. Les fermetures successives de salles de spectacle de 2020 à 2022 se sont traduites chez les artistes en dépression, détresse psychologique, pensées suicidaires et abandons de carrière (FNCC, 2021). Le milieu s’est vidé de nombreux artistes travailleurs autonomes et plusieurs emplois ont été coupés. La pandémie a exacerbé la précarité déjà grande des artistes (Menger, 2009).
Au Canada, 20 % des élèves du primaire et du secondaire souffrent d’un trouble de santé mentale entraînant des difficultés d’adaptation scolaire et psychosociale (Gouvernement du Québec, 2007). Ces difficultés compromettent la réussite scolaire et amplifient les problèmes de relations sociales à l’école (Oberle et Schonert-Reichl, 2014). Développer des interventions adaptées à la réalité souvent complexe des jeunes paraît donc crucial.
L’intelligence artificielle (IA) offre la perspective de révolutionner l’enseignement en adaptant les expériences d’apprentissage, en améliorant les méthodes d’évaluation, en soutenant les systèmes de tutorat intelligents (Kabudi et al., 2012), et en allégeant la charge de travail des enseignants (UNESCO, 2023). L’idée de personnaliser l’enseignement grâce à l’IA suscite des réflexions quant à son alignement potentiel avec les principes d’inclusion dans le contexte éducatif.
Les changements climatiques, la dégradation de l’environnement et la surconsommation des ressources naturelles constituent de véritables menaces pour les sociétés. Différents événements liés aux changements climatiques augmentent à la fois en fréquence et en gravité, notamment les incendies de forêt, les conditions météorologiques extrêmes, les inondations. C’est pourquoi l’appel à une transition socioécologique a été perçu au cours des dernières décennies comme vital pour assurer le bien-être des générations actuelles et futures de notre société.
De nouvelles réalités convient tous les acteurs qui participent à l’élaboration et la gestion des grands projets urbains, miniers ou culturels à se réinventer.
Dans le contexte du vieillissement de la population, omniprésent dans toutes les sociétés modernes, de nombreux chercheurs s’intéressent aux caractéristiques des générations et aux rapports qu’elles entretiennent entre elles (Dufaut, 2009; Joshi et coll., 2014). Dans les sociétés du savoir (Unesco, 2005) en particulier, où le partage des connaissances entre individus joue un rôle crucial pour le développement, le transfert des connaissances entre générations est devenu un objet d’étude à part entière.
Depuis les années 1980, on remarque la montée en popularité du mentorat (Houde, 2010; Kram, 1985; Lafranchise, 2000; Greenberger et Wang, 2002; Ragins et Kram, 2007; Wanberg, Welsh et Hezlett, 2003). Plusieurs organisations mettent en place des programmes de mentorat en réponse à divers enjeux organisationnels et sociétaux.
Les États et les gouvernements membres de la francophonie, où le Québec occupe une place majeure, regorgent de ressources minérales riches dont certaines sont catégorisées comme critiques et stratégiques. Ces ressources suscitent actuellement une forte demande mondiale pour la transition énergétique et technologique en vue de reconstruire une économie post-COVID plus verte et sobre en carbone. L’industrie minière est un moteur important de l’économie québécoise.
La recherche qualitative a montré que la connaissance est produite en retournant explorer, auprès des acteurs, la trame de leurs expériences singulières afin d’en dégager le sens. Le chercheur s’implique à toutes les phases du processus de recherche, jusqu’à la diffusion des résultats.  Cet engagement se concrétise différemment selon les méthodes et les enjeux sociopolitiques et s’enracine à différentes étapes du processus de recherche.
Alors que les patients mobilisent de plus en plus les pratiques holistiques en complément (et parfois en substitut) aux soins de santé offerts par la médecine conventionnelle, des études empiriques ont montré que certaines intervenantes et intervenants en soins de santé recourraient aussi à ces pratiques, soit pour leurs besoins personnels, soit comme soutien à leur pratique professionnelle.
Internet est de plus en plus utilisé par la population qui recherche de l’information sur la santé. Cette popularité en fait un outil très attractif pour les professionnels de la santé publique et communautaire, qui investissent Internet et les médias sociaux pour intervenir auprès des populations à des fins de prévention et de promotion de la santé ainsi qu’en appui à la prise en charge des maladies chroniques.
Ce colloque est à la fois bilan et prospective, à l’occasion du 30e anniversaire du Centre d’études sur les médias (CEM), OSBL de recherche fondé en 1992.
Au vu de la crise énergétique mondiale, les exigences environnementales et économiques doivent être prises en considération par les ingénieurs, les architectes et les designers. Dans cette perspective, et afin de contribuer à la réduction du gaspillage énergétique des bâtiments et des émissions de gaz à effet de serre, les biopolymères et matériaux biosourcés s’imposent non seulement comme pistes de solution pour la conception de matériaux à haute performance en isolation thermique, mais aussi comme un levier d’innovation et de développement en construction et en design.
Afin de maximiser le potentiel économique issu d’une judicieuse mise en valeur des richesses patrimoniales liées à l’histoire acadienne, il est important d’avoir des statistiques sur les visiteurs qui s’intéressent au patrimoine acadien. Des données sociales et économiques sont aussi importantes à analyser afin de pouvoir prendre les bonnes décisions et faire des choix éclairés en matière de développement du tourisme acadien.
Depuis la Déportation des Acadiens jusqu’à l’Affaire Montfort, de nombreux événements ont marqué le devenir des communautés francophones du Canada. Ils sont ainsi fortement sollicités quand il s’agit de se dire qui nous sommes et à quel avenir nous aspirons. Parmi ces événements, certains ont engagé une diversité d’acteurs, ont touché de multiples secteurs de la vie collective et ont eu une grande portée sur la vie institutionnelle et communautaire.
L’intégration croissante de l’intelligence artificielle (IA) et du numérique dans divers domaines (éducation, santé et commerce, etc.) bouleverse profondément les relations entre l’individu, la technologie, le travail, le temps et l’environnement. Si l’IA et le numérique offrent de nouvelles possibilités d’automatisation et d’optimisation des tâches, elle soulève également de nombreuses questions quant à son impact sur la capacitation humaine, le bien-être au travail et la qualité des relations sociales au sein des organisations.
Devant l’urgence d’intervenir afin de contrer la crise écologique, il ne fait aucun doute qu’il faudra mobiliser des moyens draconiens permettant de transformer radicalement les institutions, les infrastructures et l’organisation de la production, lesquelles reposent encore sur la consommation massive d’énergies fossiles.
Le colloque a pour sujet l’approche du « Management des capacités organisationnelles ». Ce courant de pensée s’inscrit, entre autres, dans le prolongement d’auteurs qui se réclament de l’approche basée sur les ressources (Resource Based View), de l’approche des compétences et de gestion des connaissances, et de la théorie de l’activité. Ce courant de pensée mobilise également un corpus multidisciplinaire tel que la théorie des organisations, la sociologie, la psychologie, la psychosociologie et la philosophie des sciences et des techniques.
Que l’on pense aux innovations technologiques et numériques qui traversent nos vies personnelles et professionnelles, aux enjeux environnementaux découlant de l’urgence climatique qui forcent la transformation de nos pratiques quotidiennes ou aux problèmes de santé liés à des conditions de travail et de vie dégradées, il est clair que nous vivons à une époque où les modalités de nos vies en société changent radicalement. Le constat de ces transformations n’est pas nouveau, car elles sont au centre des discussions depuis une vingtaine d’années.
Ce colloque vise à analyser et à comprendre les différentes méthodes servant à apprécier ou évaluer l’acceptabilité sociale des projets miniers, une notion qui est au cœur des préoccupations de l’industrie minière et des communautés situées à proximité de ces projets. Même si on parle beaucoup de l’acceptabilité sociale, les meilleures manières de l’évaluer restent à déterminer.Pendant la première partie de la journée, différents intervenants présenteront les méthodologies qu’ils ont développées ou utilisées pour jauger l’acceptabilité sociale de projets miniers donnés.