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L'industrie des produits forestiers joue un rôle important dans l'économie régionale du Québec. La transformation de la matière ligneuse représente une part considérable des activités de l'industrie forestière. Les 10 dernières années ont été marquées par une réalité économique difficile, qui a exigé des réductions de coûts et la recherche d’efficacité dans toute la chaîne d’approvisionnement. Aujourd'hui, les usines qui autrefois transformaient le bois pour en faire du bois d’œuvre ou des pâtes et papiers, se diversifient et développent de toutes nouvelles gammes de produits.
L’observation de la Terre (OT) a depuis longtemps fait ses preuves en appui à la prise de décisions éclairées dans de multiples champs, dont l’agriculture, l’hydrologie, la foresterie et la sécurité civile. Par ailleurs, au cours de la dernière décennie, un essor technologique et conceptuel intense a amené une multiplication des capteurs, un raffinement majeur des résolutions autant spatiales que temporelles, certes signes précurseurs de développement, mais aussi d’enjeux sociétaux.
Le Groupe de recherche interuniversitaire en limnologie et en environnement aquatique (GRIL) est un groupe de recherche actif en limnologie fondamentale et appliquée depuis 30 ans. Il constitue un des regroupements stratégiques du Fonds de recherche du Québec – Nature et technologies (FRQNT). Le GRIL joue un rôle de chef de file international en écologie aquatique des eaux douces. Le but de ce colloque est de faire une rétrospective de ces 30 années de recherche sur les écosystèmes aquatiques d’eau douce au Québec et de faire état des avancées actuelles dans le domaine.
Les diverses technologies de la télédétection ont évolué rapidement dans les dernières décennies. Elles se retrouvent maintenant dans tous les domaines de la science, de l'astrophysique au génie biomédical. Ce colloque veut explorer les avancées récentes des techniques de télédétection au Canada en relation avec les sciences de la sécurité publique, et favoriser les échanges entre RDDC et les autres participants afin de faire connaître différents champs d'expertise et de découvrir les avenues les plus prometteuses et novatrices dans le domaine.
Le colloque se concentre sur la conception, la synthèse et la caractérisation de nanomatériaux. Les propriétés des matériaux nanométriques et nanostructurés découlent de leur échelle de longueur. Le programme du colloque cherchera à être à la pointe de la nanoscience et de ses applications dans des domaines tels que la livraison de drogue, le ciblage cellulaire, le traitement de la maladie, l’imagerie médicale et biologique, la médecine diagnostique, le développement du capteur électronique et les énergies alternatives.
Le recours aux énergies renouvelables a connu un engouement spectaculaire durant les dernières années. En dépit de la pandémie de COVID-19, plus de 260 GW de capacités supplémentaires ont été mis en place dans le monde en 2020. Cela représente 80 % de toutes les capacités installées à l’échelle globale. Le solaire domine à hauteur de 48 %, suivi par l’éolien avec 43 %. Au cours de la décennie 2010-2019, les investissements consentis dans les énergies renouvelables ont atteint 2 600 milliards $ US.
Les journées De Launay représentent un forum thématique récurrent qui a permis l’implantation d’un réseau international de géologues ayant comme centre d'intérêt la métallogénie et provenant de pays francophones (Maghreb, Europe de l’Ouest, Québec, Canada) et d’autres régions (Amérique latine, Europe de l’Est, Australie, Vietnam). Les journées De Launay, qui se veulent un lieu d’échanges scientifiques sur les ressources minérales et leur rôle au sein de la société moderne, ont été inaugurées lors d’un premier colloque à l’Acfas à Montréal en 2004.
Le secteur des transports est l’un des principaux contributeurs aux émissions de gaz à effet de serre (GES) à l’échelle mondiale, représentant environ le tiers des émissions dans les pays industrialisés. Face à l’urgence climatique et aux engagements pris dans le cadre de l’Accord de Paris, il est impératif de trouver des solutions pour réduire de façon draconienne ces émissions.
Disposer, en quantité suffisante, d’une eau de bonne qualité à l’ère des changements mondiaux (démographiques, culturels, industriels, climatiques, etc.) est au cœur des préoccupations du 21e siècle. L’intensification de l’urbanisation et des activités industrielles et agricoles ont un effet direct sur les émissions de gaz à effet de serre, et donc sur l’accélération du changement climatique, ainsi que sur la détérioration de la qualité des eaux.
Nous observons depuis des années que les approches d’apprentissage automatique ou profond, d’inférence de modèles et d’analyse des données (d’intelligence artificielle (IA), de façon plus générale) facilitent l’élaboration et la mise à jour des modèles de détection et des moyens de défense des cyberattaques [1-3]. Des chercheurs anticipent aussi la montée des observations de vagues de cyberattaques basées sur l’IA entre 2018 et 2019 [4].
L’Institut français de l’obsolescence (IFO) est une association qui se consacre à l’amélioration et à la promotion des connaissances et des meilleures pratiques autour des questions d’obsolescence, de diminution de sources d’approvisionnement et rupture des matières, de pénurie et de pérennité.
Le Canada s’est joint au retour de l’humanité sur la Lune, cette fois pour y rester, grâce au programme d’accélération de l’exploration lunaire (PAEL) de l’Agence spatiale canadienne (ASC). Le gouvernement du Canada a annoncé le PAEL, en 2019, dans le cadre d’une nouvelle Stratégie spatiale nationale pour « positionner le secteur spatial commercial du Canada afin de contribuer à la croissance de l’économie et à la création d’emplois d’avenir ».
La microélectronique a profondément bouleversé nos habitudes de vie au cours des dernières décennies. Sa miniaturisation continue permet aujourd’hui de concevoir des systèmes complexes de plus en plus performants fonctionnant avec une consommation réduite en énergie. De nos jours, elle est intégrée avec de nouvelles technologies, telles que la microfluidique, la microélectromécanique (MEM), l’optpélectronique et l’informatique, et orchestre les échanges de données, les traite et les formate pour un affichage utile aux utilisateurs.
Le transport est un système extrêmement complexe qui entraîne beaucoup de répercussions sur notre environnement. Il est considéré comme la base de l’économie et est au cœur de la mobilité personnelle. Presque tous nos besoins sont d’une façon ou d’une autre satisfaits par le transport. Mais, c’est aussi une source de préoccupation.
L’économie verte répond à l'ensemble des activités économiques générées par toutes les entreprises qui produisent des biens et services contribuant à éviter, réduire ou supprimer des nuisances pour l'environnement. Le Québec figure parmi les économies appliquant les normes de protection de l’environnement les plus hautes, avec comme toile de fond le développement durable. Il s’inscrit comme un chef de file dans la lutte contre les changements climatiques. 
Ce colloque présentera des exemples de recherche multidisciplinaire impliquant l’utilisation des technologies de l’information et de l’aide à la décision dans les domaines de l’analyse, de la conception et de la gestion des réseaux logistiques et de transport. Le but de ces travaux de recherche est de favoriser l’adoption, par les organisations responsables des services de logistique et de transport, de pratiques soucieuses du développement durable, dans les volets économique, social et environnemental.
Les découvertes et applications entourant le bois se multiplient. La recherche entourant cette matière première est vaste puisqu’il faut d’abord connaître et caractériser cette ressource renouvelable pour ensuite la transformer en produits écoresponsables. Les avancées permettent entre autres d’allonger la vie des produits, d’améliorer la force des structures de bâtiments, de réduire l’empreinte écologique ou encore d’améliorer l’efficacité énergétique.
L’observation de la Terre (OT) concerne l’acquisition et la production d’informations sur notre milieu de vie, notamment les ressources naturelles, l’environnement, l’atmosphère et les infrastructures, à l’aide des technologies de télédétection par satellites ou par d’autres moyens aériens (avions, drones). On assiste de plus en plus à un développement fulgurant des différents types de plateformes d’acquisition par les agences spatiales à travers le monde, mais également par le secteur privé.
La stratégie maritime interpelle les scientifiques soucieux de préserver l’écosystème marin sans renier pour autant le développement socioéconomique. Comment concilier les deux tendances au Québec, que ce soit dans l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent ou dans l’Arctique? Faut-il donner une valeur aux services de l’écosystème pour mieux le protéger? Les conséquences possibles de la stratégie maritime pour le milieu côtier, la qualité de l’eau et les ressources marines seront abordées selon différents points de vue.
Les besoins de construction de nouveaux ponts et de remplacement de ponts existants ne cessent d’augmenter partout dans le monde. Les impacts sociaux et environnementaux de la construction de ponts sont très importants, lesquels impliquent des fermetures de routes, la construction de chemins de détour ou la construction de ponts temporaires.
La baisse d’oxygène en milieux aquatiques, qu’elle soit permanente, saisonnière ou épisodique, peut avoir des conséquences importantes sur les organismes qui y vivent. De plus, étant donné que la solubilité de l’oxygène diminue avec une augmentation de la température, l’impact des changements globaux suggère une diminution encore plus importante de la capacité de nos océans, nos mers et nos lacs à absorber l’oxygène indispensable à la vie aquatique.
La biodiversité, du plus petit des organismes au plus grand, permet aux écosystèmes de fournir d’innombrables services essentiels pour la santé des populations humaines (ex. : productivité végétale, qualité de l’air et de l’eau). Pourtant, Ripple et al. ont montré en 2017 que l’intensification actuelle des activités anthropiques (activités attribuables aux humains) provoque une diminution globale de la biodiversité.
La productivité et l’évolution des écosystèmes terrestres sont grandement influencées par les interactions plante-microorganismes. Ces microbes sont principalement étudiés pour leurs relations bénéfiques, que celles-ci soient symbiotiques (p. ex., champignons mycorhiziens) ou non (p. ex., bactéries promotrices de croissances des plantes ou PGPR), ou pour leurs relations pathogènes (bactéries, virus, champignons, etc.).