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Discussion à partir et autour d'une étude de 2008 sur la formation doctorale, Un doctorat en question, encore et toujours d'actualité.

Il m’est difficile d’imaginer une autre raison que la passion pour entreprendre un doctorat.

Dans l’imaginaire collectif, l’image accolée aux étudiants-chercheurs semble immuable : ils sont et demeureront toujours des geeks asociaux, nerds et rats de bibliothèque, à l’aise dans leurs laboratoires aseptisés, bien loin du « vrai » monde.

On entreprend un doctorat par intérêt personnel, et ce cheminement exige passion et persévérance. La pertinence et l’intérêt du sujet de recherche constituent des éléments fondamentaux de ce parcours que l’on tend souvent à considérer comme une fin en soi.

L’insertion professionnelle des titulaires de doctorat dans le secteur privé ne va pas de soi en France. Mais les choses changent. Des pistes sont à l’étude pour accélérer le mouvement.

« Je suis retourné aux études alors que j’étais père de deux jeunes enfants.

Alors que l’appel du marché du travail est puissant, séduisant, sécurisant, pourquoi débuter, voire poursuivre des études doctorales à temps plein?

Entretien avec Frédéric Banville, neuropsychologue et professeur en sciences infirmières à l’UQAR.

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Entretien avec Johanne Trudeau, conseillère pédagogique à la Commission scolaire des Phares de Rimouski.

Entretien avec Maxime Montembeault du Centre de recherche de l'Institut universitaire de gériatrie de Montréal, et Isabelle Rouleau professeure au Département de psychologie de l'UQAM.

Entretien avec Marie-Élaine Dontigny-Morin, étudiante à la maîtrise en sociologie à l’Université de Montréal.