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89e Congrès de l'Acfas
Auteur et co-auteurs
François Assad-Déry
Centre de recherche et d'innovation en sécurité civile du Québec (Centre RISC)
Marie-Ève Bédard, Caroline Pelletier, Mahmood Fayazi, Maria-Klara Suciu, Carmen Lemelin, Nathalie Mercier, Marie-Eve Drouin, Marie-Chantale Ménard, Serge Hamel, Édouard Bonaldo
Centre collégial d'expertise en gérontologie du Cégep de Drummondville, Centre collégial d’expertise en gérontologie du Cégep de Drummondville, Cégep de Sainte-Foy, Centre de recherche et d'innovation en sécurité civile du Québec (Centre RISC), Fondation québécoise sur la maladie d'Alzheimer et des maladies apparentées, Faubourg Soins et spiritualité
5a. Résumé

Problématique : Les pratiques pour prévenir et contrer la stigmatisation envers les aînés atteints de démence (ADD) dans leur collectivité et favoriser leur inclusion sont peu connues. Cette présentation expose un état des connaissances sur le sujet.

Méthodologie : Recension des écrits dans les banques de données scientifiques francophones et anglophones (N=16), la littérature grise (N=10), ainsi que sur le Web (N=2), de 2011 à 2021. Les mots-clés en français et en anglais concernent les pratiques, la stigmatisation des aînés, les troubles neurocognitifs, les intervenants d’urgence. Au total, N=65 textes ont été retenus après validation interjuges.  

Résultats : Les comportements stigmatisants varient en fonction de : la connaissance limitée de la maladie, l’éducation, l’âge, le sexe ou encore l’exposition à cette maladie. La sensibilisation, l’information, la vulgarisation et l’éducation de la population, tout particulièrement des jeunes adultes, s’avèrent pertinentes afin de diminuer la stigmatisation entourant les troubles neurocognitifs, notamment chez les AAD.

Discussion/conclusion : Les résultats de la recension permettront la réalisation de capsules vidéo et de formations en ligne sur les meilleures pratiques pour interagir avec les AAD. Elles visent à sensibiliser la population en général (personnes de 18 ans et plus) et les intervenants d’urgence (policiers, pompiers, paramédics), et ce, afin de réduire la stigmatisation envers les AAD.