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Ce colloque permet l’élaboration et l’échange de réflexions d’ordre théorique, méthodologique et pédagogique autour de l’intervention et des processus de communication auprès des individus, des groupes et des communautés, notamment sous l’angle des approches psychosociologiques et des relations humaines. Il se veut un lieu de rencontre entre les différents praticiens, chercheurs et professeurs intéressés par ces problématiques.
Avant même l’arrivée de la pandémie, le rapport du scientifique en chef sur l’Université québécoise du futur (automne 2020) faisait un certain nombre de constats sur les enjeux liés à l’importance grandissante du numérique et à l’attraction et la rétention de nouvelles générations d’étudiant.e.s.
Crise, incertitude, complexité, turbulence, autant de mots qui caractérisent l’environnement dans lequel nous vivons aujourd’hui. Les individus, les organisations et les sociétés ont à faire face à des crises individuelles ou collectives, à des catastrophes naturelles, à des perturbations climatiques qui les ébranlent.
La profession de communicateur ou de communicatrice n’est pas un parcours unidirectionnel. Bien que les institutions d’enseignement de même que les associations professionnelles tentent, depuis nombre d’années, d’en baliser les trajectoires (Baillargeon et al., 2013), la complexité et la transdisciplinarité traversant la fonction communication dans les organisations rendent impossible — fort heureusement, pourrait-on dire — de circonscrire les contours de ce qui fait « professionnel » en communication.
Ce colloque propose une réflexion intersectionnelle sur divers mouvements sociaux au Québec en s’intéressant aux articulations complexes des identités et des luttes. Chaque présentation s’intéressera à des tensions et à des débats au sein d’un mouvement particulier, notamment des mouvements féministes, LGBTQ+, antiracistes et militants sur les droits des jeunes et de la santé mentale.
Ce colloque aura pour objectif de présenter des recherches actuelles en sciences sociales portant sur les métiers d’aides-soignantes (en France, Suisse, Belgique) et préposés aux bénéficiaires (au Québec). Depuis les travaux d’Anne-Marie Arborio (2001), de nombreuses études se sont accumulées portant sur ce sujet, sans pour autant que soient réunis dans un même colloque les scientifiques francophones autour de cette thématique.
Le concept de pouvoir d’agir ou empowerment vise principalement des groupes sociaux vulnérables du fait de leur minorisation, de leurs conditions d’existence ou de crises plus globales frappant leur société d’appartenance.
Ce colloque présente des recherches relatives aux effets des réformes des formations et de l’introduction des référentiels professionnels dans la professionnalisation du secteur du travail social et des pratiques des travailleurs sociaux. Il s’ouvrira à des travaux portant sur des champs confrontés à une problématique similaire (santé et éducation, par exemple). Sa problématique prendra également en compte d’autres phénomènes comme l’influence de la nouvelle gestion publique ou les effets générationnels sur les pratiques professionnelles.
L’attraction et la rétention des employés constituent deux défis majeurs pour un nombre grandissant d'entreprises au Québec et ailleurs. De nombreux chercheurs universitaires étudient ces problématiques dans divers milieux (par exemple, secteurs de la santé et des technologies de l’information et des communications). Toutefois, bien qu’il existe maintenant un corpus significatif de connaissances sur chacune de ces problématiques, très peu d’efforts d’intégration ont été réalisés à ce jour. Est-ce que ce qui attire peut aussi retenir ?
La gouvernance multipartenariale prend forme dans la structuration de réseaux de construction des connaissances et de pouvoir autour d’un enjeu décisionnel. Dans ce cas-ci, il nous importe d’étudier l’intégration des réseaux environnementaux canadiens et brésiliens autour du thème de la gouvernance de l’eau et de mettre en exergue les multiples collaborations, échanges, jeux de pouvoir et capacité d’influence des réseaux à la fois composés d’experts institutionnels, gouvernementaux, académiques, de membres de la société civile et du secteur privé.
Depuis déjà plusieurs années, les Centres jeunesses du Québec ont procédé à l’informatisation des dossiers des usagers. Le système Projet d’?intégration jeunesse (PIJ) gère les données relatives aux enfants et aux parents usagers des Centres jeunesse. Ces données incluent des informations sur les besoins, les services reçus, les processus d’??intervention, les ressources d’??hébergement utilisées ainsi que les mesures légales concernant chacun des dossiers.
Organisé conjointement par l’Observatoire de la francophonie économique (OFE) et le Centre interuniversitaire québécois de statistiques sociales (CIQSS), ce colloque porte sur la question de la régionalisation de l’immigration. La répartition géographique des immigrants est un enjeu important des politiques d’immigration au Canada et au Québec. Ces politiques visent à diversifier les endroits où les immigrants choisissent de s’établir, mais cet objectif s’avère difficile à atteindre.
L’évaluation des technologies et des modes d’intervention en services sociaux (ETMI-SS) est un processus rigoureux et transparent de mobilisation, de synthèse et d’analyse des connaissances. Ces connaissances sont de trois types : scientifiques (issues de la recherche), contextuelles (issues de la réalité du terrain) et expérientielles (issues de l’expertise et du vécu des différents acteurs). Les résultats d’ETMI-SS viennent soutenir la prise de décision en vue d’introduire, d’améliorer ou de retirer une technologie ou un mode d’intervention.
Le colloque porte sur les modalités de réalisation concrète des stratégies de coordination urbanisme-transport, planifiées à l’échelle des métropoles canadiennes. De nombreux documents de planification métropolitains au Canada visent une meilleure articulation des stratégies de développement des transports et d’aménagement du territoire. Cet objectif de coordination intersectorielle transport-urbanisme se décline généralement en projets opérationnels de type TOD (transit oriented development) ou, en français, AATC (aménagement axé sur le transport collectif) aux échelle locales.
Cette proposition de colloque est portée par le Centre de recherche sur le développement territorial (CRDT), qui rassemble les chercheurs des universités québécoises intéressés par le développement territorial et plus particulièrement par les dynamiques de développement-régression qui touchent les régions non métropolitaines. Ces territoires sont soumis à des tensions qui se renouvellent continuellement.
Associant une nécessité éthique (Ebersold, 2017; Gardou, 2012) et des engagements internationaux (ONU, 2006), la participation des personnes handicapées à la société ne pose guère de problèmes dans ses principes comme en témoignent de nombreuses enquêtes (voir par exemple Kantar Public, 2018-2019 pour la France). La difficulté vient de la mise en œuvre (DGCS, 2017).
Au Québec, en moyenne 289 situations d’enfants sont signalées quotidiennement à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ, 2019). Plusieurs mesures sont mises en place afin de prévenir le placement de ces enfants ou d’offrir du soutien aux familles dont un enfant a été placé. Or, plusieurs études ont montré que ces interventions ont un impact mitigé sur l’adaptation des jeunes et des familles (Balsells et al., 2018; van der Pol et al., 2017).
Ce colloque a pour mission de réunir des personnes du milieu de la recherche, du milieu clinique et du grand public afin de cocréer une boîte à outils pour cultiver les dimensions relationnelles de la collaboration.
L’histoire de l’épidémie de sida a été largement étudiée à partir de la perspective des grands centres urbains, comme Paris, New York ou Toronto, et de leurs centres d’archives.
La créativité est souvent associée à l’idée d’œuvre artistique, d’imagination, d’inventivité, de talent et de virtuosité propre au secteur culturel. Mais qu’est-ce qu’être créatif au travail, au bureau, dans l’« open space », dans l’atelier ou devant sa caisse de supermarché? En quoi les TIC renouvellent ce questionnement?
Le colloque porte sur les enjeux analytiques, théoriques et conceptuels soulevés par l’émergence de nouveaux régimes, mouvements et pratiques autoritaires. Il cherchera à analyser les causes, les mécanismes, les processus et le contexte de cette émergence. Le colloque étant destiné d’abord aux chercheurs en sociologie historique, il accordera une attention privilégiée aux propositions qui effectuent des comparaisons diachroniques afin de mettre en relief la pertinence ou non des comparaisons avec le passé.
En vertu de la Loi sur les décrets des conventions collectives, le gouvernement du Québec peut, à certaines conditions, étendre les dispositions d’une convention collective pour les rendre obligatoires et applicables à l’ensemble des employeurs et des salariés dans un secteur d’activités et dans un territoire donnés.
Il ne fait plus de doute que les changements climatiques ont des conséquences sociales majeures, notamment en raison des obstacles que la crise climatique pose à la réponse aux besoins de base de nombreuses populations.
La Commission d’enquête sur les relations entre les Autochtones et certains services publics (Commission Viens) lancée en décembre 2016 a remis son rapport au gouvernement du Québec en septembre 2019. Parmi les appels à l’action qu’on y trouve, plusieurs concernent la démarche de la sécurisation culturelle présentée comme un moyen de médiation entre, d’un côté, la société québécoise, et de l’autre, la population, les instances et les communautés autochtones.
Devant le nombre de crises comme les catastrophes naturelles, les pannes d’infrastructures essentielles, les risques de pandémie et les attaques terroristes, l’adoption de politiques publiques sur la résilience semble une solution prometteuse.