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Denise Bolarindé Moussoro

Université d'Abomey-Calavi

Taux sériques de la leptine et de l’adiponectine chez les pré-éclamptiques suivies au Service de gynécologie et d’obstétrique du Centre hospitalier et universitaire de la mère et de l’enfant Lagune (CHU-MEL) et à la clinique universitaire de gynécologie et d’obstétrique du Centre national et hospitalier Hubert Koutoukou Maga (CHNU-HKM) de Cotonou

Votre profil en bref...

Je suis une jeune femme de 25 ans ayant tout fraîchement obtenu son doctorat d’État en médecine. J’aime découvrir de nouveaux horizons. J’ai des affinités spéciales avec tout ce qui a trait à la santé et aux nouvelles technologies, mais plus précisément à la santé maternelle et infantile – d’où le choix du thème de ma thèse. J’aimerais pouvoir me spécialiser en gynécologie-obstétrique afin de pleinement répondre à ma vocation.  

  •  Avez-vous déjà tenté de vulgariser votre thèse à votre famille? Qu’est-ce qui a constitué le plus gros défi? Ce processus a-t-il suscité des réactions cocasses? 

Oui, j’ai déjà essayé de vulgariser ma thèse devant les membres de ma famille. Cela s’est bien souvent terminé en éclats de rire, car certains termes leur paraissaient drôles. Difficile de tenir le rythme de façon sérieuse! Mais néanmoins, ils ont été un auditoire fidèle et encourageant.

  •  Pour vous, que représente votre recherche : un rêve d’enfance devenu réalité, un choix de carrière réfléchi, etc. ?

Ce fut un choix facile, car je voulais travailler sur tout ce qui a trait à la maternité. Encore plus sur un sujet qui traite d’un mal qui décime les futures mères et les jeunes nouveau-nés innocents. Mon directeur de thèse a agi comme éclaireur pour ce choix qui reflétait mes aspirations.

  •  Au quotidien, à quoi ressemble votre vie d’étudiant-e chercheur-euse? Quelle est l’expérience la plus enrichissante que vous avez vécue en tant que chercheur-euse?

Le quotidien durant la recherche, jusqu’au point actuel, n’a pas été aisé. La collecte de données a été difficile du fait des moyens utilisés, sans oublier que certains intrants étaient à la charge de l’étudiant. Vu les moyens limités, cela constituait un vrai casse-tête.

  • Pourquoi avez-vous décidé de participer au concours Ma thèse en 180 secondes?

Pouvoir explorer d’autres horizons, acquérir de nouvelles compétences, élargir mon réseau et pourquoi pas avoir des opportunités pour la suite de ma formation et de ma carrière.