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Informations générales

Événement : 92e Congrès de l'Acfas

Type : Colloque

Section : Section 400 - Sciences sociales

Description :

La rhétorique à l’égard de l’action paysagère s’est transformée au cours des dernières décennies, faisant passer le paysage d’un objet réservé aux experts à un objet démocratique. Dans la foulée de l’expression croissante des sensibilités sociales envers le paysage, le Québec a été témoin d’une pluralité d’initiatives innovantes adaptées aux spécificités locales et régionales.

Des acteurs se rassemblent : pour la protection et la valorisation des paysages, en réponse aux pressions multiples induites; pour envisager l’action paysagère comme une contribution au sentiment d’appartenance et de fierté, au bien-être des individus et des communautés. La reconnaissance du caractère relationnel du paysage nécessite ainsi une compréhension fine de ces composantes intangibles. Par exemple, les enjeux liés aux changements climatiques entraînent de vives préoccupations sociales envers la qualité des paysages et des cadres de vie. Or, si le milieu municipal se dote de plus en plus d’outils pour considérer les composantes tangibles des paysages (ex. : caractéristiques physico-spatiales), la prise en compte des valeurs intangibles reste un défi. L’absence de considération à leur égard peut entraîner des conséquences bien réelles au sein des communautés, pouvant conduire à l’émergence de tensions, voire d’épisodes de conflit. Il est dès lors essentiel de réfléchir collectivement aux manières de révéler ces valeurs pour ensuite les mobiliser dans l’action.

La prise en charge de ces enjeux implique une multiplicité d’acteurs du territoire, du citoyen, aux experts, aux élus. La perspective partenariale doit donc être au cœur de la réponse à apporter à ces défis d’envergure. C’est dans cette optique que la CPEUM a créé le projet d’atlas social des paysages et des territoires pour le Québec. Cette démarche et certains résultats seront présentés et mis en dialogue avec les travaux d’autres parties prenantes pour faire avancer les connaissances et la prise en compte des dimensions intangibles de la demande sociale en paysage. Ce thème demeure d’ailleurs peu discuté, dans la littérature comme dans la pratique, d’où son intérêt scientifique.

Les défis rencontrés dans la pratique seront abordés lors de présentations d’études de cas et d’expertises variées, de réflexions sur les outils et approches méthodologiques propices pour favoriser l’inclusion — notamment celle des groupes touchés par des enjeux de justice épistémique —, et pour tirer des leçons utiles au développement de nouveaux projets à travers le Québec.

Format

  • Trois sessions thématiques :
  1. Paysages, démocratie et équité territoriale
  2. Paysages et résilience territoriale
  3. Paysages et développement régional
  • Panel : Quel avenir pour les actions paysagères au Québec?
  • Cocktail de réseautage
Remerciements :

La CPEUM remercie les partenaires de recherche du projet d'Atlas social des paysages et des territoires : Le CRSH, trois ministères québécois (le MAMH, le MCC et le MELCCFP), Hydro-Québec, l'AARQ, ainsi que les fimes Les Topographes, Enclume et Picbois.

Ce projet a reçu le soutien financier du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH) et d'Hydro-Québec.

Date :

Format : Sur place et en ligne

Responsables : Partenaires :
  • CRSH
  • Gouvernement du Québec
  • Hydro-Québec
  • AARQ
  • L'Enclume
  • Les Topographes

Programme

Communications orales

Accueil

Salle : B-0908 — Bâtiment : ETS - Bâtiment B

Communications orales

Conférence d’ouverture

Salle : B-0908 — Bâtiment : ETS - Bâtiment B

Communications orales

Session 1 : Paysages, démocratie et équité territoriale

Salle : B-0908 — Bâtiment : ETS - Bâtiment B
  • Communication orale
    La justice épistémique : un concept porteur pour interroger la démocratie paysagère sous l'angle de l'équité
    iseult Séguin Aubé (UdeM - Université de Montréal)

    La justice épistémique nous invite à examiner les dynamiques de production et de valorisation des connaissances paysagères. Elle nous encourage à remettre en question nos présupposés pour vérifier si, de manière inconsciente, nos pratiques ne laissent pas de côté des groupes dont l'apport pourrait enrichir notre compréhension des diverses formes de relation aux paysages et orienter l'action paysagère en conséquence. La justice épistémique nous apparait ainsi comme un concept porteur pour interroger la démocratie paysagère sous l'angle de l'équité.

    Nous proposons dans cette présentation des exemples issus d'une recherche doctorale s'intéressant aux jeunes touchés par les iniquités territoriales en contexte montréalais. La grille de lecture intégrera les deux formes principales de la justice épistémique :

    (1) L' injustice testimoniale, qui désigne les formes de discrimination qui découlent de pratiques discréditant la parole d'autrui sur la base de préjugés inconscients.

    (2) L'injustice herméneutique, qui concerne l'invisibilisation des expériences sociales de certains groupes et qui conduit à des lacunes d'origine structurelle se reflétant dans les ressources d’interprétation collectives.

    Cette grille de lecture pourra être appliquée plus largement afin de réfléchir aux enseignements susceptibles d’étendre la prise en compte des savoirs expérientiels dans l'action paysagère.

  • Communication orale
    L’enclavement des eaux publiques et le difficile accès aux paysages du Québec
    rodolphe gonzales (UQAM), sébastien rioux (UdeM - Université de Montréal)

    Une des caractéristiques fondamentales du droit de l’eau québécois est l’existence d’un droit d’usage des eaux publiques dans un contexte où le législateur n’a jamais prévu de politique d’accès aux eaux publiques. Puisque le statut juridique de l’eau est tributaire de la propriété foncière, et dans la mesure où le législateur a favorisé l’occupation du domaine public à des fins privatives sans prévoir un droit d’accès, l’État a, dans les faits, livré aux propriétaires riverains l’accès et l’usage des eaux publiques et la jouissance des paysages hydriques, au détriment de la collectivité. Autant sur le plan juridique que politique, l’enclavement à grande échelle des lacs et rivières du Québec est un problème bien connu depuis les années 1960. Jusqu’ici, personne n’a été en mesure d’offrir un portrait de l’enclavement du domaine hydrique de l’État. Le problème est largement demeuré anecdotique dans sa démonstration. Dans cette communication, nous nous proposons d’offrir le premier portrait géographique permettant de quantifier le problème de l’enclavement des cours d’eau du Québec, et de réfléchir aux impacts de ce dernier sur l’accès aux paysages du Québec.

  • Communication orale
    La marque territoriale comme vecteur de gouvernance paysagère. Le cas de la marque Parc naturel habité
    Virginie Gauvin (UdeM - Université de Montréal)

    Cette conférence présente les résultats d’une recherche interdisciplinaire sur le rôle des marques territoriales dans la gouvernance paysagère, à partir du cas de la marque « Parc naturel habité », enregistrée en 2016 par la municipalité rurale de Saint-Donat-de-Montcalm, au Québec. Cette recherche s'inscrit dans un courant ontologique émergent en sciences de la gestion et administration publique, qui reconnaît la capacité des marques territoriales à contribuer au développement local et à l'action collective. Elle s'appuie également sur le champ disciplinaire des études paysagères, qui considère le paysage comme un outil réflexif pour l'interprétation de l’évolution et de l’identité paysagère.

    Dans un premier temps, nous examinerons comment la marque territoriale peut servir d'outil de reconnaissance d'une identité paysagère et d'une vision de développement. Nous analyserons la manière dont cette marque a été mobilisée par la communauté locale en réaction aux transformations paysagères perçues et vécues.

    Dans un second temps, nous explorerons l'articulation de la marque territoriale pour la mise en action collective, en adoptant une perspective historique sur la trajectoire et la gouvernance paysagère locale.

    Cette présentation nous invitera à considérer les marques territoriales et paysagères non seulement pour leur rôle promotionnel, mais également comme vecteurs de gouvernance d'un paysage commun.

  • Communication orale
    L’esthétique des paysages comme point de contact pour considérer les valeurs paysagères intangibles : le cas des Îles-de-la-Madeleine.
    Florence Harvey (UdeM - Université de Montréal), Sylvain Paquette (Université de Montréal)

    Les éléments intangibles des paysages peinent à être considérés dans la gouvernance territoriale en raison de leur nature immatérielle, appartenant souvent à l’ordre du subjectif. Ces dimensions paysagères nécessitent une approche plus contextualisée à une échelle locale, ce qui pose le défi de leur intégration dans les processus décisionnels.
    Cette proposition s’inscrit dans le cadre d’un mémoire visant à explorer la considération des dimensions intangibles du paysage dans la gouvernance territoriale, et la place qu’occupe l’esthétique paysagère dans cette dynamique.
    Des entretiens semi-dirigés menés auprès de personnes habitant les Îles-de-la-Madeleine, ainsi qu’un groupe de discussion réunissant des aménagistes de ce même territoire, ont permis de mettre en lumière l’importance des éléments intangibles dans l’appréciation paysagère. L’analyse révèle que si l’observation et l’identification des composantes matérielles constituent souvent le point de départ de l’appréciation, la dimension sensible émerge comme un élément central du discours puisqu’elle permet de donner sens à l’expérience esthétique. Les sensations, l’identité et l’ambiance associées aux expériences paysagères leur confèrent un caractère unique, ancré dans un contexte spatio-temporel spécifique.
    Comment cette connaissance des dimensions sensibles peut alimenter la mise en place d'actions aménagistes plus en phase avec les aspirations des communautés locales ? Certaines pistes seront explorées à cet effet.


Communications orales

Session 2 : Paysages et résilience territoriale

Salle : B-0908 — Bâtiment : ETS - Bâtiment B
  • Communication orale
    Quelles qualités paysagères pour les espaces industriels montréalais? Le cas de l’initiative du Canal de Lachine 4.0
    Patrick Marmen (Ville de Montréal)

    Dans la foulée de l'adoption, en 2019, de l’Agenda montréalais 2030 pour la qualité et l’exemplarité en design et en architecture, le Bureau du design de la Ville de Montréal en collaboration avec ses partenaires internes et externes, a entrepris une série d’initiatives visant à mobiliser les acteurs de l’aménagement des espaces industriels montréalais autour d’objectifs de qualités paysagères. Prenant appui sur cette démarche, le secteur du Canal de Lachine a fait l’objet d’un travail plus détaillé visant le développant d’une vision qualitative de son aménagement. Berceau de l’industrie au Canada, les berges et les abords du canal de Lachine ont connu un important processus de revalorisation à travers la réalisation d’une série de projets publics et privés à vocation récréotouristique et résidentielle, qui ont mené à la réappropriation des espaces laissés vacants par le départ des anciennes industries. Aujourd’hui, la présence d’espaces à vocation économique à forte proximité du centre-ville est en cours de réappréciation. Dans un objectif de soutenir la présence d’un pôle d’emploi le long du Canal de Lachine, la Ville de Montréal a lancé l’initiative du corridor industriel du Canal de Lachine 4.0 dont l’objectif est de redéfinir la vocation des espaces industriels afin d’attirer une nouvelle génération d’entreprises ainsi que de travailleurs et travailleuses. En parallèle à l’élaboration de la vision économique, un processus de concertation et d’idéation a été lancée afin d’identifier les valeurs paysagères qui soutiennent cette initiative et définir des stratégies d’aménagement basées sur la mise en valeur des caractères identitaires dominants. La présentation retracera les différentes étapes de cette démarche de mobilisation et ses résultats.

  • Communication orale
    Le design fiction pour explorer des avenues de médiation par le paysage face aux changements climatiques: une proposition pour la ville de Québec
    Amélie Fortin (UdeM - Université de Montréal), Caroline Gagnon (Université Laval), sylvain Paquette (Université de Montréal)

    Dans le cadre d’un projet de recherche plus vaste visant à adapter les paysages urbains existants au Québec face aux bouleversements climatiques, la communication abordera la manière dont le design fiction peut soutenir l’exploration de nouvelle avenue de médiation par le paysage. À travers des approches plus innovantes, créatives et participatives de recherche-action et de recherche-création par le design fiction, l’étude de cas se concentrera sur un quartier de la ville de Québec.
    Le design fiction permet de créer des scénarios, des récits et des prototypes fictifs proposant des imaginaires possibles à l’égard de nouveaux usages et de nouvelles formes dans les milieux de vie adaptés aux enjeux de durabilité et de résilience. Autrement dit, cette approche permettra d’explorer au-delà des cadres habituels et des limites, ouvrant de nouvelles perspectives.
    Ainsi, la communication explore les retombées potentielles du design fiction comme méthode de concertation pour penser le devenir des paysages urbains centraux. Elle cherche à stimuler un nouvel espace de réflexion et de dialogue entre les parties prenantes, développer une compréhension commune des enjeux et mettre en commun les différents savoirs experts et expérientiels en vue d’identifier des potentiels de transformation du milieu habité.

  • Communication orale
    Valeurs intangibles des espaces publics postpandémiques : de l'urgence sanitaire à l'émergence de nouvelles qualités paysagères à Québec
    Aya Boussouf (Université Laval), Alexandre Lebel (ESAD), Stéphane Roche (Université Laval)

    La pandémie de COVID-19 a catalysé une transformation sans précédent des espaces publics urbains, notamment à travers le déploiement d'aménagements temporaires. Si ces interventions ont modifié physiquement le paysage urbain, elles ont surtout révélé des valeurs intangibles essentielles à documenter pour enrichir les pratiques d'aménagement futures.
    Notre recherche doctorale examine les aménagements temporaires déployés à Québec pendant la crise sanitaire et leur impact sur la qualité des espaces publics. Au-delà de leur dimension matérielle, ces transformations ont fait émerger de nouvelles relations entre les citadins et leur environnement urbain, modifiant profondément les valeurs associées à ces espaces. À travers une approche évaluative combinant analyse typo-morphologique et enquêtes qualitatives (focus groups, entretiens), nous explorons comment ces interventions ont influencé la perception et l'appropriation des espaces publics.
    Les résultats préliminaires révèlent que ces aménagements ont engendré de nouvelles valeurs collectives liées à la résilience urbaine et au bien-être communautaire. Cette recherche propose une typologie d'espaces publics post-pandémiques intégrant ces dimensions intangibles, contribuant ainsi à enrichir les outils d'évaluation et de conception des espaces publics. Elle offre également des pistes pour mieux documenter et mobiliser ces valeurs émergentes dans les futures interventions paysagères.


Dîner

Dîner – Réseautage

Le dîner sera également un temps de réseautage.

Salle : B-0908 — Bâtiment : ETS - Bâtiment B

Communications orales

Session 3 : Paysages et développement territorial

Salle : B-0908 — Bâtiment : ETS - Bâtiment B
Présidence : Sylvain Paquette (UdeM - Université de Montréal)
  • Communication orale
    • L’atlas des paysages, un outil de compréhension des valeurs sociales du paysage régional.
    Méralie Murray-Hall (Humain Humain), Louis-Philippe Rousselle-Brosseau (Les Topographes), pascaline walter (Arpent)

    Le paysage suscite de plus en plus d'attention dans les démarches de planification et de politique publique. Depuis plusieurs années, des MRC entreprennent, par la caractérisation paysagère et des atlas des paysages, de développer et de mobiliser des connaissances approfondies sur leurs paysages, pour sensibiliser les populations, les professionnel.le.s en aménagement et les élu.e.s à la question paysagère, et, en fin de compte, d'encourager l’action territoriale.

    En 2024, la MRC de L’Assomption a lancé la réalisation de son atlas des paysages. Afin d'approfondir les aspects sociaux, affectifs et symboliques liés au paysage, la démarche de l'atlas inclut la compréhension sociale des paysages. Un premier volet historique aborde la variable sociale du paysage à travers la production culturelle initiée par les citoyen.ne.s du territoire et les artistes inspiréspar celui-ci. Un second volet consiste en la collecte des valorisations paysagères actuelles et une mobilisation autour de celles-ci.

    Pascaline Walter présentera les méthodes développées et expliquera comment les approches participatives et ethnographiques permettent de saisir les perceptions et des valorisations citoyennes vis-à-vis des paysages, puis comment cette connaissance approfondie a le potentiel d'orienter les actions sur le territoire, d’améliorer la qualité des interventions publiques, en veillant à ce que les gestes d’aménagements répondent mieux aux préoccupations sociales.

  • Communication orale
    Programme de maintien des paysages : mobiliser les acteurs vers une occupation agricole du territoire
    Lyne Desnoyers (MRC de Memphrémagog)

    Issu du plan d'action paysages 2021-2027 de la MRC de Memphrémagog, le programme de maintien des paysages - encore à l'état de projet - vise à reconnaître le rôle citoyen dans le maintien et le rétablissement des vues à partir du réseau routier. Dès 1987, la MRC a identifié ses routes pittoresques et panoramiques et inscrit au sein de son schéma d'aménagement. C'est la route qui transforme le pays en paysage. Or, malgré la règlementation, les percées visuelles de certaines de ces routes se sont dégradées à cause de la déprise agricole ou la plantation de haies denses. Ce programme vise à jeter les bases d'actions agricoles et forestières rétribuées afin de maintenir les vues, un programme en construction avec les élus de Memphrémagog.
    En milieu rural, ce sont les producteurs agricoles qui cultivent le paysage, qui permettent de maintenir ou rétablir des ouvertures grâce à l'occupation dynamique du territoire. Comment dynamiser le milieu agricole malgré les contraintes réglementaires et la difficulté de rentabilité des fermes ? Entre autre par la création, en parallèle à ce programme, d'une cohorte de codéveloppement entre producteurs de foin, une culture pérenne réalisées sur des terres en location chez des propriétaires fonciers qui n'ont pas l'expertise ni la machinerie pour cultiver la terre.

  • Communication orale
    L’observatoire des paysages de la Capitale-Nationale – Un projet collectif porté par le milieu
    Sophie De Blois (Paysages Capitale-Nationale)

    Issu de la volonté collective des partenaires de Paysages Capitale-Nationale d’outiller les diverses clientèles à l’égard des paysages, le projet d’observatoire des paysages de la Capitale-Nationale à comme objectif de répondre aux besoins de connaissances et de compréhension de l’évolution des paysages des MRC et municipalités de la Capitale-Nationale. Par le biais d’un suivi régulier et systématique de certains sites paysagers, l’observatoire permettra de rassembler des données pertinentes sur l’évolution des paysages, d’analyser les dynamiques en cours et d’agir en faveur de la protection et de la valorisation des paysages régionaux.

    L’observatoire des paysages de la Capitale-Nationale est un projet collectif ambitieux qui favorisera une meilleure compréhension des enjeux environnementaux, culturels et socio-économiques qui affectent et transforment les paysages de la région. Il se positionnera comme un outil essentiel permettant d'éclairer les décisions politiques, les initiatives locales et de sensibiliser la population à la valeur des paysages. C’est du moins la volonté des partenaires de Paysages Capitale-Nationale.

    L’observatoire des paysages de la Capitale-Nationale est en phase de création et son implantation sur le territoire est estimé pour 2028. Ce projet collectif rassemble tous les partenaires de Paysages Capitale-Nationale qui s’impliquent avec enthousiasme et fierté dans la création du premier observatoire des paysages du Québec.


Panel / Atelier

Panel de discussion : Quel avenir pour les actions paysagères au Québec?

Salle : B-0908 — Bâtiment : ETS - Bâtiment B
Discutant·e·s : Caroline Gagnon (Université Laval), Sylvain Paquette (UdeM - Université de Montréal)

Réseautage

Cocktail de réseautage

La Chaire en paysage et environnement de l'U. de Montréal (CPEUM) offrira un cocktail de réseautage à ses participants.

Salle : B-0908 — Bâtiment : ETS - Bâtiment B