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Auteur et co-auteurs
Ailin Olivares-Marchant
UdeM - Université de Montréal
Dahlia Kairy, Kadija Perreault, Anne Hudon, François Desmeules
Université de Montréal, Université Laval
5a. Résumé

Contexte. Des services téléphoniques dispensés par des physiothérapeutes ont déjà été implantés au Royaume-Uni et en Alberta, par exemple. Les résultats de ces initiatives laissent entendre que de tels services pourraient améliorer l’accessibilité à la réadaptation physique au Québec. Avant d’implanter un tel modèle, il est important de connaître l’acceptabilité du public face à ce dernier. Objectifs. Déterminer l’acceptabilité d’un service de consultation téléphonique en physiothérapie selon la perspective d’un groupe d’usagers potentiels. Méthodes. Un sondage a été développé et diffusé en ligne à un échantillon de convenance formé d‘usagers recevant des services de physiothérapie dans une clinique externe à Montréal. Les données ont été collectées via la plateforme REDCap. Des statistiques descriptives ont été utilisées pour compiler les données. Résultats. Trente-deux participants ont complété le sondage. La majorité des participants utiliseraient un service de consultation téléphonique en physiothérapie notamment pour obtenir des recommandations de la part des physiothérapeutes de façon rapide (81,3%). La possibilité d’obtenir un service gratuit (71,9%) offert sept jours par semaine (81,3%) faciliterait particulièrement l’utilisation d’un tel service. Conclusion. Selon les résultats de cette étude préliminaire, un service de consultation téléphonique en physiothérapie semblerait acceptable. Ces résultats seront vérifiés auprès d’un plus grand échantillon.


Commentaires

Simon Lafrance
Super présentation. Comme l'un des avantages principaux des consultations à distance (téléphonique ou virtuel) est en lien avec les enjeux géographiques des populations rurales, je me questionnais si vous aviez également demandé aux participants du sondage s’ils préféraient avoir accès à un service de consultation ou de conseils en physiothérapie en personne ou par téléphone? Est-ce que les répondants se disaient intéressés par le service, car il est par téléphone ou simplement, car sinon ils n'ont pas de service? Auraient-ils préféré un service en personne?