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Auteur et co-auteurs
David Webster
Bishop’s University
5a. Résumé

En 1975, les forces armées indonésiennes ont envahi le Timor oriental, un petit pays ayant déclaré son indépendance quelques jours auparavant. Pendant une occupation militaire de 24 ans, à peu près de 100 000 Timorais sont morts.

Contrairement aux prétentions d’Ottawa d’être une voix forte en faveur des droits humaines, le gouvernement canadien a toujours appuyé le régime indonésien. Mais en même temps, plusieurs militants ont travaillé en compagnie avec le peuple timorais en appuyant le droit de l’auto-détermination.

Cette communication décrit la politique canadienne, accordant une attention égale aux actions des organisations non gouvernementales, tirant des archives non exploitée à la fois gouvernementales et non-gouvernementales. D’abord menée par des alliés clés, la politique canadienne a évolué sous pression venants des militants canadiens basés dans les églises, les syndicats, les groupes étudiants et surtout les organisations en solidarité avec le Timor, notamment le Réseau d’Alerte Timor-Oriental. Enfin, en 1998, le gouvernement canadien a arrivé á soutenir le droit d'auto-détermination.

L’histoire du politique canadien concernant le Timor oriental mette les lunettes sur le rôle clé des militants en influençant et en façonnant les relations internationales. Le gouvernement canadien ne défend pas, lui, les droits de la personne. Pourtant, il est obligé de plus en plus de prendre note de et répondre à la pression des militants.