449 - Gouvernance et performance : une perspective internationale
Ce colloque traite des récents développements et des sujets émergents en matière de gouvernance. La gouvernance, comme thématique transversale, est abordée dans tous ses aspects : gouvernance d’entreprise, gouvernance économique, gouvernance publique, en lien avec la création de valeur ou la performance des organisations, des politiques ou des programmes concernés. Dans chacun des contextes, les travaux souligneront l’effet des mécanismes de gouvernance sur la performance des organisations, institutions ou collectivités.
La perspective internationale du colloque a pour but d’examiner les modèles et structures de gouvernance présents dans différents pays et dans les différentes organisations, selon que ces modèles dépendent fortement du système juridique, du modèle économique et social, ainsi que le poids relatif des différentes parties prenantes. Les contributions sont donc attendues des chercheurs et professionnels de plusieurs champs disciplinaires, notamment les sciences économiques, les sciences juridiques, les sciences politiques, la comptabilité, la finance, l’administration et la stratégie.
Lire la suite »La gouvernance d’entreprise est un système de soutiens et de contraintes qui ne peut pas se délimiter aux instruments internes de gouvernance d’entreprise, tels que le rôle joué par les administrateurs indépendants au sein du conseil d’administration, les actionnaires, etc. En effet, un grand effort de réflexions et recherche sur les différentes façons d’améliorer la gouvernance d’entreprise et l’importance du système légal a été initié en 97 par La Porta, Shleifer et Vishny . La succession des scandales d’espionnage à l’échelle internationale ont suscité des interrogations bien légitimes pour prendre des décisions en ce sens pour porter des solutions aussi bien sur le plan national qu'international. Pour appréhender et anticiper les retombées des décisions et les nouvelles tendances du thème gouvernance versus espionnage , et plus globalement de la société numérique de demain, nous avons essayer de trouver des réponses à ce sujet à travers l’étude d’un cas concret (Espionnage Cas de HP ) , le choix de ce cas est dû aux événements du scandale jugé instructive pour traiter gouvernance & Espionnage ; un sujet essentiel, mais longtemps ignoré, cette étude de cas sera un débat privilégié entre les chercheurs en gouvernance , gestionnaires; des discussions fructifiée qui puissent s’étaler au-delà du cas étudié , et qui servira comme référence pour le traitement de d’autres cas d’espionnage; et porter des éléments de réponse adéquat .Les cas d’entreprises touchées par des scandales d’espionnage se multiplient et ne cesse de jalonner l’actualité ces vingt dernières années. Plusieurs hypothèses se posent ! Nous soulevons plusieurs hypothèses qui puissent être des solutions pour dissimuler au problème au sein des firmes, et de développer des manières transparente et loyale en même que celui de jouer le rôle de police interne (Baer, 2008). Bien que cette dualité demeure vraisemblablement problématique pour n’importe quel type de structure de gouvernance, il est apparent que certaines considérations restent pertinentes pour éviter des débordements possibles.
L’influence des mécanismes de gouvernance sur la performance financière a fait l’objet de nombreux travaux de recherche. En revanche, leur influence sur les décisions stratégiques prises par les dirigeants reste relativement peu explorée.
Nous étudions la relation entre les mécanismes de gouvernance internes et la décision de mener une stratégie de capital risque industriel (CRI).
Le CRI (Corporate Venture Capital) est une stratégie qui consiste à créer ou à rejoindre des fonds d’investissement par des grandes entreprises. Ces fonds sont destinés à financer des projets innovants.
Les recherches sur le CRI ont suscité peu d’intérêt sur le marché français alors que les statistiques montrent que c’est une opération en forte croissance (289 M€ en 2013 contre 32 M€ en 2008).
L’objectif de notre étude est d’enrichir la recherche sur le sujet en analysant la relation entre la stratégie de CRI et les mécanismes de gouvernance (la concentration de la propriété, la nature des actionnaires, dirigeants ou institutionnels et l’indépendance des membres du conseil d’administration).
D’autres variables de contrôle (rentabilité, endettement et slack ressources) sont étudiées.
Notre étude est menée sur un échantillon composé de tous les groupes français qui ont fait du CRI entre 1995 et 2015. L’échantillon comprend 58 entreprises, 29 ayant fait du CRI et 29 représentant notre échantillon de contrôle. Les résultats mettent en évidence les mécanismes de gouvernance favorisant le CRI.
L'objectif de cet article est de questionner le succès de certaines entreprises dans un contexte tel que la Cameroun ou les mécanismes formel de contrôle sont insuffisants, corrompus, les marchés financiers très peu développés, et où l’application des mesures de l’Acte Uniforme de l’OHADA relatif au Droit des Sociétés Commerciales (qui font office de code de bonne conduite en matière de gouvernance) est mitigée. Malgré ces disfonctionnements, certaines entreprises se démarquent en réalisant de meilleures performances sur le long terme; d’où l’intérêt pour la recherche des spécificités de ces entreprises. Pourquoi deux entreprises structurées sur le même modèle de gouvernance parviennent-elles à des résultats différents? Pour répondre à cette problématique notre travail développe une approche comparative des pratiques de gouvernance de «deux groupes d’entreprises»; «entreprises performantes» et «entreprises non performantes». À l’issus de celle-ci, on s’attend à ce qu’en moyenne, il existe des différences significatives entre les deux groupes pour ce qui est du fonctionnement du conseil d’administration, la structure d’actionnariat et surtout les caractéristiques propres aux dirigeants.
L’objectif de cette recherche est de construire une grille de lecture de la gouvernance du travail afin d’apprécier la contribution de l’inspection de travail (IT) à la performance globale de l’entreprise (PGE). L’IT est envisagée dans l’optique du contrôle du pouvoir dont disposent les employeurs sur la relation de travail, dans un contexte où le cadre institutionnel protège insuffisamment les contrats et où la conjoncture économique défavorable nourrit l’acceptation par les employés des conditions de travail offertes. Différentes théories sont mobilisées : les théories de l’agence, des parties prenantes, des coûts de transaction et néo-institutionnelles. Les entretiens semi-directifs réalisés avec des dirigeants de 10 entreprises camerounaises démontrent que l’IP contribue positivement à la PGE, bien que ces effets apparaissent indirectement liés à la performance financière et sociétale, et plus étroitement liés à la performance sociale. Ces résultats se rapprochent de la théorie néo-institutionnelle qui admet que l’environnement agit sur la performance de l’entreprise via des institutions et des normes. Toutefois, la recherche révèle un effet médian, en postulant que l’action des institutions transite par un levier situé à l’intérieur de l’entreprise, qui fait office d’interface avec l’environnement et cristallise les intérêts multiples des parties prenantes. Ce levier d’action est ici le contrat de travail.
Un des principaux objectifs de l'Union Africaine est de promouvoir les principes et les institutions démocratiques, la participation populaire et la bonne gouvernance. La bonne gouvernance économique est indispensable au développement économique. La mauvaise gouvernance a souvent fait peser des contraintes sur la mise en œuvre des politiques publiques et le développement des activités du secteur privé et a compromis l'atteinte des objectifs économiques et sociaux. Elle se traduit par un manque de transparence dans les transactions, dans la disponibilité de l'information et dans la gestion des ressources destinées à des intérêts privés, au détriment de l'intérêt général. La mauvaise gouvernance contribue, également à l'aggravation de la pauvreté et constitue une menace pour le contrat social qui fonde la République. La corruption, pendant de la mal gouvernance, constitue un autre fléau qui limite les perspectives de développement. Par conséquent, évaluer la gouvernance économique permettra de proposer un programme d'actions qui va promouvoir un climat économique propice à l'investissement, la croissance, la réduction de la pauvreté et le bien-être des populations. L'objectif cette communication est d’analyser la perception de la gouvernance économique par les populations.
Suite au choc de la mondialisation, la nouvelle vision économique mondiale et la concurrence des nouveaux marchés émergents orientent les objectifs de la production des pays industrialisés vers les produits plus sophistiqués à contenu technologique élevé, et, font de la capacité d’innovation l’élément fondamental de la concurrence internationale. Dans cette nouvelle ère, les systèmes économiques des pays en développement subissent une pression de plus en plus sévère, qui trouve son originalité dans la complexité des réseaux transfrontaliers des flux commerciaux. Ainsi, l’intégration de la course à l’innovation par l’appropriation de ces flux de technologies et non technologique, devient alors une question vitale pour les entreprises pour surmonter ce gap. Ce travail s’interroge sur les déterminants du comportement d’innovation, la complémentarité des différents types d’innovation et ses effets en termes de productivité des entreprises du Cameroun, Sénégal et de la Côte d’Ivoire. il utilise pour cela, les données d’enquête « les Déterminants de la Performance des Entreprises en Afrique Subsaharienne Francophone : Cas du Cameroun, de la Cote d’Ivoire et du Sénégal », réalisée conjointement en 2014 dans les trois pays cibles en coopération avec le Centre de Recherche pour le Développement International (CRDI).
Dans le contexte de l’économie du savoir, l’importance de l’enseignement supérieur n’est plus à démontrer. En attestent les résultats empiriques de Bloom et al (2006) établissant l’impact positif de ce sous-secteur de l’enseignement sur la croissance économique et la réduction de la pauvreté. Toutefois, dans le contexte de l’UEMOA et de l’Afrique en général, ce sommet de la pyramide éducative peine encore à relever les défis urgents qui l’interpellent. Mieux, les études diagnostics soulignent que dans cette sous-région, les établissements d’enseignement supérieur et de recherche sont aux prises avec un problème de gouvernance qui a des répercussions sur le management, la gestion et sur l’atteinte de leurs missions (efficacité). Cette communication s’intéresse aux pratiques de gouvernance des établissements publics d’enseignement supérieur (EPES) des pays de l’UEMOA. Il repose sur l’hypothèse suivante : les EPES dans cette région se caractérisent par des pratiques de gouvernance différentes se reflétant sur leurs différents niveaux d’efficacités externes. Les constats effectués à partir de l’enquête à laquelle nous avons pris part semblent aller dans le sens de notre hypothèse de recherche.
Cette communication a pour objet d’examiner le lien entre la gouvernance et la performance des entreprises publiques et des organisations à but non lucratif et les contingences auxquelles elles sont assujetties. Ces contingences portent sur les logiques opposées des parties prenantes, les processus institutionnels et les ruptures engendrées par les marchés financiers. Notre communication entend également mettre en lumière les processus de décision qui découlent des liens entre les acteurs, les institutions et les marchés et de leur capacité à mobiliser les ressources pour atteindre les objectifs économiques, sociétaux et environnementaux. Les entreprises collectives sont assujetties aux contraintes imposées par le marché, ce qui est de nature à affecter les choix des parties prenantes en ce qui concerne les modes de gouvernance et les objectifs de performance. Ceci nous conduit à examiner les organismes sans but lucratif sous trois prismes à la fois distincts et interconnectés : la finalité des biens et des services produits et échangés, l’usage des ressources mobilisées et les processus institutionnels pour atteindre les objectifs. Nous tenterons ainsi de restituer le débat sur les processus de gouvernance des entreprises publiques et des OSBL en apportant une attention particulière aux limites des discours normatifs sur la gouvernance et la performance.
La gouvernance dans le domaine de la coopération et du développement international (CDI), tant au Canada qu’ailleurs, a connu de grandes transformations au cours des dernières années. Cette reconfiguration majeure des politiques, dispositifs et orientations en matière de CDI caractérisée, entre autres, par l’importance accordée au secteur privé, a suscité des préoccupations d’ordre éthique pour des organismes de coopération internationale : comment concilier les intérêts commerciaux du secteur privé avec les motifs et valeurs de solidarité, de justice et de réduction de la pauvreté promus par les OCI/ONG; comment répondre à la nouvelle injonction de collaborer avec le privé? Pour répondre à ces questions, une étude exploratoire auprès des OCI du Québec -réalisée entre mai 2014 et avril 2016 (Larouche et Baldé, 2016*)- a permis de documenter des positions contrastées entre les OCI. Deux tendances se sont démarquées : ceux qui s’opposent à la collaboration avec le secteur privé (type convictionnel/oppositionnel), ceux qui ont une attitude d’ouverture pragmatique (type pragmatique/consensuel). Face aux transformations de la gouvernance en CDI, les OCI sont ainsi confrontés aux enjeux de leur propre gouvernance en matière d’enjeux éthiques. La communication permettra de présenter le cadre, la démarche et les résultats de cette recherche.
Cette recherche théorique vise à proposer un modèle conceptuel qui étudie l’impact de la gouvernance sur la performance des associations à travers la mise en évidence du rôle médiateur du pouvoir discrétionnaire des dirigeants. Tout d’abord, nous allons présenter une large revue de la littérature qui porte sur les concepts clés de notre étude. Par la suite, nous tentons de développer un modèle de recherche qui vise à expliquer l’impact de certains éléments de gouvernance sur le pouvoir discrétionnaire des dirigeants et sur la performance des associations. Plus précisément, nous montrons que la structure et l’activisme du conseil d’administration ont un impact sur le pouvoir discrétionnaire du dirigeant. Par la suite, nous mettons en relief les liens pouvant exister entre la composition du conseil d’administration, le pouvoir discrétionnaire et la performance. Puis, nous expliquons les moyens par lesquels les sources des dons agissent sur le pouvoir discrétionnaire des dirigeants et sur la performance de l’association. Finalement, nous expliquons les liens entre le pouvoir discrétionnaire des dirigeants et la performance des associations. Cette recherche propose une vision plus élargie de la gouvernance des associations à travers l’introduction d’une variété de mécanismes et d’une variété de parties prenantes comme elle offre aux chercheurs la possibilité de tester la plausibilité de ce modèle de recherche dans des travaux futurs.
Le concept de bonne gouvernance, très usité aujourd’hui, n’est pas nouveau au Mali et dans l’Ouest africain. L’histoire nous enseigne que la Constitution de l’empire du Mali, appelée Charte de Kurukan Fuga, adoptée en 1236, prenait en charge les dimensions de la bonne gouvernance. L’apparition du paradigme de développement durable est venue conforter la position centrale de l’Homme dans les activités individuelles et des organisations.
Au Mali, plus de cinquante ans après l’indépendance, les politiques publiques peinent encore à assurer une amélioration significative des conditions de vie et d’existence aux populations. De 1980 à nos jours, les différentes politiques mises en œuvre par les gouvernements successifs ont permis de créer des richesses avec des taux de croissance du PIB variant entre -7,4% en 1982 et +11,9% en 2001 ! Cependant, l’Indice de développement humain (IDH) sur la période 1980-2014 est passé de 0,199 à 0,419 au Mali contre 0,8 pour la France et 0,9 pour le Canada, les USA et l’Australie. Les méthodes de management public utilisées sont-elles les plus appropriées ? ; Les choix d’interventions sont-ils les plus efficaces ? Les acteurs disposent-ils des capacités nécessaires et suffisantes ? Ne faut-il pas choisir une approche de gestion axée sur les résultats de plus en plus réclamée au triple plan stratégique, institutionnel et comportemental ?
Les pays de l’UEMOA, promeuvent la bonne gouvernance des institutions bancaires et financières pour assurer le développement économique de la zone. Nous nous proposons dans cet article de montrer la nécessité d’une bonne gouvernance bancaire qui s’articule autour de mécanismes externes (réglementation, contrôle institutionnel) et internes (la composition de l’actionnariat, la géographie du capital), complémentaires. Nos résultats confirment le rôle des facteurs réglementaires et institutionnels dans le contrôle des incitations à l'excès de risque. En particulier, la qualité de l'état de droit est un élément crucial pour contrôler ces incitations et réduire le risque de défaut des banques.
De l’homo sapiens à l’homo juridicus en passant par l’homo economicus, le sujet proposé se veut un carrefour de discussion où s’entrecroisent les avenues les plus diverses : droit du commerce interne et international, service public et rôle de l’État et du privé dans le financement, la réalisation, l’exploitation et le financement de grands projets importants pour la vie en société; valeurs marchandes et valeurs non-marchandes, emprise du phénomène contractuel sur celui de la Loi; justice étatique et justice privée ainsi que l’analyse économique de ces question en contexte de partenariats public-privé…Bref, c’est tout un pan du sujet intitulé Gouvernance et Mondialisation qui sera traité dans ces aspects tant fondamentaux que techniques qui sera abordé en arrière-plan de la problématique que nous nous proposons d’aborder.
Le gouvernement d’entreprise n’est pas le seul ressort du conseil d’administration (Jacquillat et al., 2003). Force est de constater toutefois que cet organe est l’instance décisionnelle des sociétés cotées. Son rôle va donc être essentiel dans les évolutions qu’implique la mise en œuvre d’une gouvernance partenariale de l’entreprise (Persais, 2013). Plusieurs études ont montré qu’une plus grande intégration d’une diversité de parties prenantes au sein des conseils d’administration rend ceux-ci plus ouverts quant aux choix lors des décisions stratégiques et plus sensible aux questions de RSE (Moulin et Point 2012 ; Bear et al., 2010 ; Kang et al., 2007 ; Kosnik, 1990).
Reste à savoir comment et à quelles parties prenantes ouvrir les conseils d’administration ?
Ces questions soulèvent des enjeux managériaux et juridiques que se propose d’explorer cette recherche dans une approche bi-disciplinaire. Pour ce faire, les auteurs mobiliseront la littérature en sciences de gestion et juridique ainsi que les cadres juridiques des pays anglo-saxons et de la France. Cette étude s’intéressera ainsi à la façon d’inciter/imposer aux entreprises d’ouvrir davantage leurs conseils d’administration (1) avant d’identifier quelles sont les parties prenantes qui pourraient intégrer ces conseils (2) et elle se conclura par des recommandations qui feront le lien entre ces deux analyses.
Cette communication est une contribution à la littérature consacrée à la ville-globale en tant que maillon dans la consolidation des chaines de valeur, une politique issue de la Stratégie commerciale mondiale (2009) du gouvernement fédéral qui en a fait son modèle commercial dominant. En collaboration avec les gouvernements provinciaux, Ottawa a eu recours à la création de plusieurs schèmes de gouvernance qui portent en propre deux caractérisques : d’être multi-niveaux (ou multi-scalaires) et d’être composés de parties prenantes issues pour l’essentiel soit de la haute administration publique, soit du secteur privé. Nous allons privilégier un dossier, celui des accords commerciaux, et faire trois choses : (1) repérer les principaux schèmes de gouvernance mis en place et identifier leurs parties prenantes ; (2) analyser comment les parties à ces schèmes définissent leurs programmes, leurs décisions et leurs actions en matière de libre-échange et de stratégie commerciale ; et (3) évaluer leurs retombées sur le pouvoir municipal, les partis politiques municipaux et l’exercice de la démocratie au niveau municipal et ce, au triple niveau de la transparence, de la capacité d’intervention (capacitation ou empowerment) et de l’aptitude à maintenir une vigile sur le dossier en question (monitoring). L’analyse portera sur le cas de Montréal, c’est-à-dire sur la ville elle-même (Conseil municipal et Comité exécutif) et sur la ville-région (la Communauté métropolitaine de Montréal, CMM).