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Le colloque proposé repose sur les travaux de la Chaire de recherche sur l’islam contemporain en Afrique de l’Ouest (UQAM, https://chaireicao.uqam.ca), qui examinent les dynamiques contemporaines de mobilisation collective et les modalités de la religiosité dans le contexte actuel de la violence djihadiste au Sahel.
Dans plusieurs pays du monde, de nombreuses villes observent un développement rapide et une transformation imposés par les politiques de transport durable, lesquelles viennent s’inscrire dans le but de réduire les pollutions engendrées par les moyens de transport et également dans une démarche d’adaptation aux changements climatiques dans ce secteur stratégique. L’automobile n’est plus perçue comme avant, elle représente pour de nombreuses villes du monde une source de pollution, de congestion et de perte de temps dans les déplacements quotidiens.
La thématique retenue dans le cadre de ce colloque porte sur l’apport de la recherche et du développement des pratiques pour favoriser l’inclusion des personnes autistes* ou présentant une déficience intellectuelle (DI). Avec l’adoption des objectifs de développement durable et de l’agenda « Ne laisser personne de côté », il y a un élan mondial pour garantir que les groupes marginalisés, notamment les personnes autistes ou présentant une DI, soient inclus et pris en compte dans les principaux efforts de développement (ONU, 2023).
Depuis les années 1980-1990, s’observe un tournant quant à l’institutionnalisation des mémoires du passé énoncées au présent. Bien que les dispositifs visant la restitution mémorielle et la reconnaissance d'injustices historiques varient, il est courant d'observer les processus d’éclaircissement de la vérité ou les politiques de réparation des torts subis faire directement appel aux témoignages publics des survivants, de leurs proches ou de leurs descendants.
Forts de notre franc succès de l’an dernier sur le thème de la veille stratégique, nous le reprenons cette année tout en l’orientant sur des contenus et des échanges consacrés à l’innovation. Dans un monde caractérisé par le foisonnement des échanges communicationnels façonné et supporté par les nouvelles technologies, l’innovation devient l’objet de nouveaux et nombreux enjeux et défis. Parmi ces derniers, la mise en place d’une gouvernance d’entreprise valorisant la pratique de veille stratégique pour innover devient incontournable.
Suivant la généralisation de la communication marketing à toutes les sphères d’activité, Internet et le Web social sont marqués par la sphère marchande. La socialisation électronique a amené de nouvelles normes et formes de socialisation.
Le dispositif contemporain d’aide sociale prend racine dans une longue tradition d’assistance, dont les filiations sont multiples et hétérogènes (Labrie, 2016). Au Québec, aujourd’hui encore, des logiques distinctes continuent de façonner le système d’aide sociale, empruntant à la fois au registre séculaire de la charité, à celui plus récent de l’universalité des droits, et, de plus en plus, à la rationalité néolibérale, faisant de l’État un entremetteur du marché et faisant des individus des entrepreneurs d’eux-mêmes (Merrien, 2005).
La grande région métropolitaine de Montréal est présentement secouée par une vague de violences par arme à feu. Pour combattre la violence armée, le gouvernement du Québec a mis sur pied la Stratégie québécoise de lutte contre la violence armée (CENTAURE). Le gouvernement fédéral a emboîté le pas en introduisant une série de modifications législatives incluant notamment le gel de toute transaction d’armes de poing et un système de drapeaux rouges et jaunes pour éventuellement saisir les armes de toute personne représentant un danger pour soi-même ou autrui.
Dans un contexte de globalisation des politiques éducatives et de montée de nouvelles formes de régulation postbureaucratiques des systèmes d’enseignement, l’action publique en éducation s’appuie de plus en plus sur des outils qui se présentent comme techniques : tests, évaluations externes, indicateurs, conventions entre les partenaires de l’action publique, etc.
La réinsertion sociale est, depuis longtemps, au cœur des préoccupations des politiques publiques. Quels que soient les indicateurs, la forme ou le vocabulaire utilisé, l’idée de ne pas retourner en prison à la suite d’une condamnation pénale est souvent une des priorités avancées des gouvernements. En 1969, la Loi sur la probation et le système correctionnel du Québec estime que la réinsertion sociale est un des moyens à prioriser pour assurer la sécurité du public.
La catégorie de pensée du « populaire » renvoie à des manifestations multiples et complexes. Elle provient de la formation des États-nations, de leur personnel lettré et d’un mouvement plus général de démocratisation de l’éducation. Au 19e siècle, la catégorie est ensuite associée à la « question sociale » : en dépit de l’augmentation des capacités productives, la pauvreté ne diminue pas dans une même proportion. Aujourd’hui, le populaire renvoie en sus à la culture de masse.
L’évaluation des technologies et des modes d’intervention (ETMI) est une méthode d’évaluation dont le but est de soutenir la prise de décision. Alors que l’ETMI dans le secteur de la santé (ETMIS) est une pratique largement utilisée et reconnue à l’échelle internationale, il en va autrement pour l’ETMI dans le secteur social (ETMISS), qui demeure un champ de pratique novateur.
Les services tendent à dominer le monde. Plus de 70% du produit intérieur brut (PIB) des économies les plus avancées est généré par l'industrie des services (Ostrom et al., 2010). Même les pays historiquement concentrés sur la production manufacturière ou agricole connaissent une croissance rapide en matière de services.
Le colloque est l’occasion de diffuser les premiers résultats de l’enquête Sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire (ESSIMU), menée à l’hiver 2016. Il s’agit d’une recherche portant sur les violences sexuelles en milieu universitaire à laquelle collaborent des chercheures de six universités québécoises.
L’une des préoccupations majeures de la formation continue au sein des PME au Québec est de mieux répondre aux besoins de la main-d’œuvre active dans une conjoncture souvent peu favorable à l’économie de l’entreprise.
Organisé par l’Observatoire de la Francophonie économique de l’Université de Montréal en collaboration avec l’Observatoire Jeunes et Société de l’INRS, ce colloque porte sur la transition des jeunes des études vers le marché du travail au Canada et ailleurs dans le monde.
Ce colloque souhaite explorer les approches et les objets émergents au sein des études culturelles pour faire état des tangentes, influences, bifurcations ou récurrences présentes au cœur de ce champ, et plus particulièrement au sein des travaux réalisés par des chercheurs francophones.
Le gouvernement du Canada vise un objectif de 30 % d’étudiantes diplômées en ingénierie en 2030. En 2022, l’objectif n’atteint pas encore 20 % : la progression est trop lente. Si cet objectif n’est pas atteint, il sera difficile de cheminer vers une amélioration de la situation des femmes dans les secteurs des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM) dans diverses entreprises qui embauchent ces femmes.
Ce colloque explore l’« intimité » sous l’angle des études féministes, des études queer et des études culturelles. L’intimité désigne ici des connexions « qui comptent » (Berlant, 2000), incluant par exemple des relations éphémères ou contractuelles. Les présentations porteront sur les sexualités, les identités et les relations non normatives ainsi que sur les réalités actuelles des formes d’intimité plus traditionnelles du couple et de la famille.
Ce colloque porte sur les rapports entre science et démocratie, plus particulièrement sur le phénomène de la « démocratisation » de la science que les expressions récentes « sciences citoyennes » et « sciences participatives » ont contribué à mettre à l'avant-scène. Ce phénomène soulève plusieurs questions, telles que : Quels publics sont invités à participer aux débats et à l’activité scientifique? Quels sont les mécanismes de participation les plus appropriés, au regard de quels critères et pour quels publics?
Encore aujourd’hui, les personnes ayant des incapacités représentent l’un des groupes les plus désavantagés sur le marché du travail au Québec. Selon l’Enquête canadienne sur l’incapacité de 2017, un écart de 48 % existerait toujours entre les taux d’emploi des 20-64 ans ayant des incapacités d’avec celles sans incapacités. Ces différences perdurent malgré les différentes lois, politiques et mesures mises en œuvre pour soutenir leur préparation, leur intégration et leur maintien dans l’économie productive.
Au-delà de la disparition annoncée de manière récurrente des classes sociales, que faire aujourd’hui de ce concept fondamental en sciences sociales, aujourd’hui très peu utilisé ici comme ailleurs (Hugrée, Penissat et Spire, 2017)? Bien que le concept ne soit pas complètement disparu, nous avons l’impression que son usage sert davantage à délimiter un champ d’analyse (les classes populaires, par exemple), regroupant bien quelques indicateurs communs (revenu, scolarité, etc.), qu’à expliquer la vie en société.
James R. Taylor, le fondateur de l’École de Montréal en communication organisationnelle, une école de pensée mondialement reconnue en sciences de la communication et en études organisationnelles, est décédé le 21 avril dernier à l’âge vénérable de 93 ans.
Dans ce colloque on se propose de saisir la question de l’immigration au-delà de la problématique de l’établissement des nouveaux arrivants.  Il s’agit  de sortir d’un paradigme de l’intégration pour saisir la réalité des immigrants en centrant le regard sur deux piliers de leur vie quotidienne, le monde du travail et celui de la ville, comme autant de manière de saisir des acteurs dans des situations qu’ils contribuent à transformer. Le regard ne porte donc plus seulement sur les processus d’adaptation des immigrants mais bien sur les transformations dont ils sont partie prenante.
Il y a un demi-siècle, le rapport Parent pavait la voie à une réforme radicale de l’enseignement supérieur au Québec, y compris ses modes de gouverne et de gestion. Rompant avec la centralisation qui prévalait jusqu’alors, l’administration des universités devait faire la part belle à la collégialité. Les professeurs avaient ainsi voix au chapitre, que ce soit au conseil d’administration ou dans les divers comités et commissions mis sur pied à l’échelle de l’université ou de ses unités.