Informations générales
Événement : 84e Congrès de l'Acfas
Type : Colloque
Section : Section 300 - Lettres, arts et sciences humaines
Description :L’évolution du patrimoine comme objet nous amène à un paradoxe : d’une part, nous assistons à son élargissement constant sous la poussée d’une patrimonialisation qui conduit certains à parler du « tout patrimoine » alors même que, d’autre part, cette multiplication des formes de patrimoine, des intervenants et des disciplines convoqués entraîne une fragmentation simultanée du champ d’étude et une fragilisation des capacités de mobilisation des acteurs. Ce colloque vise à prendre la mesure des mutations récentes de l’univers patrimonial québécois pour explorer les enjeux qui interpellent les acteurs au-delà de leurs divergences et pour examiner les nouvelles formes de coopération interdisciplinaires et intersectorielles qu’exige le temps présent.
Quatre thématiques seront soumises à la réflexion. Nous ferons d’abord le point sur l’intensification de la patrimonialisation au Québec et ses effets. Deux tables rondes seront consacrées à l’examen de la multiplication des objets et des intervenants. Nous chercherons à cerner dans quelle mesure le contexte actuel limite la capacité d’agir des acteurs et rend plus difficile leur concertation de même que leur rencontre avec l’université. La réflexion se poursuivra en tentant de dégager des pistes qui sont porteuses pour l’avenir. La troisième séance s’interrogera sur la réponse de l’université en tant que lieu de recherche, de formation et d’expertise en patrimoine. Comment peut-elle construire des collaborations intersectorielles fructueuses et favoriser des pratiques pédagogiques, innovantes et engagées dans la communauté? Enfin, la dernière séance explorera des facteurs de convergence. Il s’agit d’identifier les enjeux communs et de réfléchir aux occasions et aux initiatives qui favorisent la concertation. Parmi les pistes retenues : la volonté commune des acteurs de rapprocher l’expert du citoyen, le défi partagé d’assurer la réactualisation-requalification du patrimoine, le fort potentiel d’intégration du numérique (Web sémantique, LAM).
Ce colloque est une initiative de l’Institut du patrimoine de l’UQAM. Depuis sa création en 2004, l’Institut propose une approche multidisciplinaire du patrimoine en rassemblant des chercheurs de diverses disciplines favorisant ainsi une pluralité des regards sur la nature protéiforme des objets du patrimoine. Par ses partenariats avec de nombreux acteurs montréalais du domaine du patrimoine, l’Institut est également ancré dans son milieu et participe à un dialogue intersectoriel sur les enjeux de la recherche, de la conservation, de la mise en valeur et de la gestion du patrimoine. Ainsi, depuis de nombreuses années, l’Institut collabore à l’organisation de colloques et de journées d’étude consacrées à diverses problématiques touchant le patrimoine pour contribuer à l’avancement des connaissances et à l’échange d’expertise. Le colloque Patrimoines : fragmentation et convergences s’inscrit dans cette mouvance et partage ces objectifs scientifiques.
Date :- Joanne Burgess (UQAM - Université du Québec à Montréal)
- Yves Bergeron (UQAM - Université du Québec à Montréal)
Programme
De nouveaux patrimoines : émergences et enjeux
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Mot de bienvenue
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Architecture moderne : quand le passé récent devient patrimoineMarie-Dina Salvione (UQAM - Université du Québec à Montréal)
Dans la francophonie, il se nomme «patrimoine du XXe siècle», mais aussi «moderne» ou «récent». Ces dénominations caractérisent la production architecturale de la période d'essor que fut le siècle dernier. Par conséquent, elle représente un lègue important, directement lié au phénomène de la modernité. Témoins précieux de notre histoire sociale, technique et artistique contemporaine, les réalisations issues de cette période constituent un corpus imposant. Il est composé à la fois d'édifices dits «banals» et d'œuvres remarquables aux qualités architecturales formelles, techniques et artistiques innovantes et parfois inédites.
Depuis le milieu des années 1980, les questions liées à la connaissance de cette production, à sa valorisation et à sa sauvegarde intéressent les organisations patrimoniales et les comités d'experts à l'échelle internationale. Aujourd'hui, malgré sa reconnaissance croissanteau sein des politiques culturelles, force est de constater que l'architecture moderne peine à susciter l'intérêt et le respect au sein des collectivités.
Notre communication présentera cette discipline désormais reconnue dans le champ spécialisé des études patrimoniales. Après en avoir brossé le portrait et présenté des exemples à l'échelle provinciale, il sera question des enjeux et des problématiques inhérents à sa sauvegarde.
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Mise en mémoire du vivant : vers un patrimoine dansantGabrielle Larocque (Institut du patrimoine UQAM)
La recherche s'inscrit dans les réflexions actuelles sur le patrimoine vivant et a pour objectif de rendre compte des conditions propices à la mise en place de nouveaux modes de conservation et d'exposition des pratiques vivantes. Amorcée en travaillant à la recension des expositions sur la danse, cette réflexion porte sur le cas précis de la danse. Le constat de cette recension indique une tendance à historiciser la danse par le biais d'autres histoires, ce qui peut créer une déviation dans la compréhension de l'œuvre chorégraphique et des tendances qui ponctuent son évolution. Exclue des modes d'historicisation traditionnels en raison de ses qualités immatérielles et éphémères, la mémoire de la danse suscite toutefois un sentiment d'urgence dans son milieu et nécessite de trouver des méthodes adéquates pour la conserver et la mettre en valeur. La recherche examine donc les voies possibles de solution à partir de la muséologie et de l'histoire de l'art ainsi qu'à partir de l'ethnomuséologie et de l'intérêt grandissant des musées pour l'objet culturel immatériel. La collaboration entre la communauté porteuse de la connaissance et l'institution muséale suggère de placer ce porteur au centre de la production de la connaissance. Cette réflexion a permis de dégager une dizaine de modalités de conservation propres à la danse, une discipline qui, placée au sein de l'institution muséale, représente une opportunité de repenser les modes d'accès et de construction du savoir.
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L'alimentation: enjeux d'un nouvel objet patrimonialJulia Csergo
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Chorégraphier le musée : redistribuer la production des savoirsAnne Bénichou (UQAM - Université du Québec à Montréal)
Dans cette communication, j'aborderai le phénomène récent de l'intégration de la danse contemporaine aux musées d'art, non pas dans la perspective d'une patrimonialisation des arts vivants, mais en tant que stratégie de réactivation des œuvres et plus largement des objets muséaux. En effet, certaines expériences d'intégration de la danse à des expositions ou à des collections permanentes visent à réinscrire les artefacts dans des usages ou des processus de création, et suscitent à leur sujet des débats, parfois des « dissensus ». Redistribuer la responsabilité de la production des savoirs et mettre en scène les rapports de force qui s'y jouent comptent parmi les questions importantes que soulèvent ces « chorégraphies du musée ». C'est la dimension publique du musée d'art qui est interrogée, au moment où il est de plus en plus difficile de résister aux impératifs de l'industrie culturelle.
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Discussion
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Pause
Diversification des patrimoines et fragilité des acteurs
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Un clocher à la fois? Défendre le patrimoine religieux dans un contexte d'éclatement des ressourcesDenis Boucher (UQAM - Université du Québec à Montréal)
La présentation vise à exposer quelques constats liés à certaines expériences récentes de sauvegarde du patrimoine religieux, notamment la multiplication des intervenants, l'éclatement des initiatives et l'absence de consensus quant aux valeurs patrimoniales reconnues et aux formes de protection encouragées. De là, il sera question de divergences entre le milieu associatif, les experts et les administrations publiques concernées. Certaines observations seront partagées au sujet de la valorisation de l'utilité du patrimoine qui nourrit un discours plus pragmatique et confronte les pratiques de conservation établies. La présentation abordera enfin les enjeux liés à l'acceptabilité sociale et aux défis de communication que cela représente pour des organisations aux moyens limités.
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L'association québécoise pour le patrimoine industriel : un premier test de résilience?Karl Dorais Kinkaid (UdeM - Université de Montréal)
Face aux plus récentes conjonctures économiques et s'inscrivant dans une volonté de réfléchir au rôle que peut jouer une association à portée nationale, l'Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) a décidé d'entreprendre un réalignement stratégique de ses opérations. Cette présentation présentera les grandes lignes de cette volonté de repositionnement en cours de réalisation et les résultats préliminaires de celle-ci.
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Discussion
Dîner
L'université, un acteur du patrimoine
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Les rôles et les enjeux du programme conjoint de la maîtrise en muséologie au regard du patrimoineMarie-Charlotte Franco (UQAM - Université du Québec à Montréal), Violette Loget (UQAM - Université du Québec à Montréal)
La question du patrimoine, son rôle et les enjeux qui lui sont associés sont au cœur de la mission de la maîtrise en muséologie, dont la formation, dispensée conjointement par l'Université du Québec à Montréal et l'Université de Montréal, a relativement peu évoluée depuis sa création en 1987.En remettant en contexte les modules et les approches pédagogiques offerts par le programme, nous souhaitons, à travers cette communication, réfléchir aux nouvelles formes d'intégration de la notion de patrimoine au sein de l'apprentissage académique. Notre réflexion - structurée autour de trois axes, soit la gestion du patrimoine, sa préservation et sa valorisation - nous permettra d'envisager l'intégration d'enjeux récents et majeurs à la formation en muséologie au Québec, notamment au regard d'approches innovantes développées à l'international.Alimenté par nos expériences personnelles ainsi que par des références à des recherches et des initiatives locales et internationales remarquables dans le paysage patrimonial, ce bilan tentera de répondre aux questions suivantes :Comment intégrer l'évolution de la définition et du rôle du patrimoine dans notre société au sein de la formation en muséologie ? Comment la muséologie peut-elle s'adapter aux nouveaux besoins (en termes de formation théorique et pratique) et répondre aux problématiques actuelles du monde du patrimoine et de la culture ? Comment optimiser la formation des futures cohortes aux pratiques actuelles et à venir ?
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L'enseignement au premier cycle comme espace de concertation pour les études patrimoniales : dix ans d'expérimentation à l'Université LavalPatrice Groulx (Université Laval)
Créé en 2004, le Baccalauréat intégré en sciences historiques et études patrimoniales (BISHEP) combine six disciplines des sciences historiques (histoire, histoire de l'art, archéologie, ethnologie, archivistique et muséologie) elles-mêmes regroupées au sein d'un même Département.
Du point de vue de l'offre-l'Université, la Faculté et le Département-cette cohabitation représente un défi d'ordre scientifique, pédagogique et administratif : comment donner une cohérence à un assemblage de cours conçus en fonction de programmes disciplinaires spécialisés?
Du point de vue de la demande-les étudiant.e.s et le monde patrimonial et muséal-l'attrait de ce programme réside dans la variété des domaines à l'étude et dans la possibilité d'une insertion rapide dans un marché de l'emploi pluridisciplinaire, ou d'un passage au cycle supérieur. Toutefois, dans quelle mesure la formation offerte par un baccalauréat intégré, par définition non « spécialisé », peut-il satisfaire les besoins en expertise dans le milieu patrimonial? Le BISHEP a fait l'objet, en 2014, d'une évaluation institutionnelle. En nous appuyant à la fois sur dix ans d'enseignement dans ce programme et sur le rapport d'évaluation, nous identifierons les atouts et les failles d'un baccalauréat de cette nature. Nous souhaitons alimenter une comparaison entre les formations pluridisciplinaires et monodisciplinaires, ainsi qu'une réflexion sur la pertinence de ces formations pour l'institution patrimoniale au sens large.
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L'université comme acteur du patrimoine : quel rôle pour l'Institut du patrimoine de l'UQAM?Joanne Burgess (UQAM - Université du Québec à Montréal)
L'Institut du patrimoine de l'UQAM naît au début des années 2000 et participe au mouvement de réflexion sur le patrimoine culturel qui traverse alors la société québécoise. Il est, à bien des égards, un héritier des travaux du Groupe-conseil sur la Politique du patrimoine culturel du Québec, dirigé par Roland Arpin, et sa mission initiale témoigne de certaines des préoccupations exprimées dans Notre patrimoine, un présent du passé. Cette communication s'intéresse au parcours de l'Institut du patrimoine de l'UQAM depuis sa création. Quelles ont été les lignes de force de son action? Comment cette action participe-t-elle à un écosystème où cohabitent des centres, des chaires et des équipes de recherche, sans parler de divers programmes de formation aux trois cycles d'études ? Au moment où l'UQAM entreprend un exercice d'évaluation de ses divers instituts, quel bilan établir de l'Institut du patrimoine ? Quelles orientations proposer pour en faire un acteur significatif du patrimoine culturel québécois pendant les prochaines années ?
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Le patrimoine, objet de dialogue entre l'université et la collectivitéNicolas BEAUDRY (UQAR - Université du Québec à Rimouski), Manon Savard (UQAR - Université du Québec à Rimouski), Jean-René Thuot (UQAR - Université du Québec à Rimouski)
Depuis quelques années,une équipe de professeurs-chercheurs en sciences humaines de l'UQAR investit le patrimoine régional pour alimenter ses activités de formation et de recherche. Ces activités l'ont conduite à établir un dialogue avec la communauté sur la base de l'expertise acquise, en prenant part à des projets en partenariat. Au gré des expériencess'est développée une pratique qui a permis d'initier de nouveaux chantiers en recherche fondamentale, d'enrichir la formation des étudiants, ainsi que de tisser des liens privilégiés avec de nouveaux partenaires. En nous basant sur une série d'interventions et de projets de formation ancrés dans le milieu régional, nous souhaitons mettre en évidence les paramètres principaux de cet engagement et leur retombées dans l'enseignement comme dans la recherche : la gestion des attentes, le maintien d'une réserve et l'exercice d'un regard critique, la création d'une documentation originale, le partage et la diffusion de résultats. Nous verrons enfin comment l'expérience de ces dernières années a permis de définir avec plus d'acuité les possibilités et les limites opératoires du concept de patrimoine dans le contexte d'une université régionale.
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Discussion
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Pause
Les patrimoines : convergences et enjeux communs
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Dialogue entre institutions patrimoniales (musées, archives, bibliothèques) à l'ère numérique : convergence et interopérabilité des bases de donnéesJoanne Lacoste (Musée Dufresne-Nincheri)
Une tendance s'impose dans le milieu de la documentation des institutions patrimoniales (musées, bibliothèques et archives) depuis le début du 21e siècle. La convergence des bases de données semble un sujet incontournable avec la venue de nouvelles technologies.L'échange d'informations documentaires numériques sur les collections entre les institutions patrimoniales est maintenant possible, apportant des modifications profondes dans les relations entre les divers professionnels (muséologues, archivistes, bibliothécaires) impliqués dans l'échange de ces informations.Cette communication permettra de relever comment la convergence modifie ou modifiera la façon de documenter les collections, de diffuser l'information et les façons d'effectuer la recherche, et comment le domaine muséal répond à la tendance de la convergence dans les institutions culturelles.
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FESTI‘O'MUSE : la relève au rythme de la cocréationChristine Gaudet, Noémie La Rue Lapierre (UQAM - Université du Québec à Montréal)
FESTI'O'MUSE est un laboratoire de cocréation destiné aux étudiant-e-s de muséologie de la province du Québec. À cette occasion, 30 participant-e-s sont rassemblé-e-s pendant 60 heures dans un musée-hôte. Le défi est de cocréer et de collaborer à un regard nouveau et innovateur sur les problématiques proposées par le musée-hôte. L'évènement vise à promouvoir une culture de créativité et de collaboration auprès des futurs muséologues. Sa richesse? Réunir les 13 programmes et concentrations en muséologie de la province, issus de six établissements d'enseignement différents, collégial et universitaires confondus. S'en suit alors un véritable marathon de cocréation muséologique. Dès la première soirée, les étudiants se familiarisent avec les lieux qu'ils parcourront au cours de la fin de semaine pour ensuite choisir leur chantier. Espaces d'expérimentation des étudiants, ces chantiers sont directement tirés de problématiques vécues par le lieu d'accueil. Élaborés en collaboration avec le musée hôte, l'équipe de FESTI‘O'MUSE proposent des défis variés, stimulants et concrets aux participants. Aucune limite n'est imposée: une fois les contextes précisés, les étudiants ont carte blanche afin d'imaginer diverses solutions.
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L'étude des phénomènes sonores du passé : concepts, notions et approche pour entendre à travers les sourcesJean-François Plante (Institut du patrimoine culturel de l'Université Laval)
Le chercheur passionné par son objet de recherche accumule par sa fréquentation assidue des sources une somme d'éléments factuels qui lui permettra de formuler ses questions de recherche, mais surtout d'y répondre de manière adéquate par la mise en relation des données ainsi amassées au moyen des outils explicatifs qui sont à sa disposition. Il ne peut alors se cantonner dans les limites d'une discipline et se priver ainsi de savoirs ou de concepts produits ailleurs dans le monde scientifique. C'est le but de tout chercheur de comprendre et de ne pas se contenter de savoir comment, mais bien de savoir pourquoi l'être humain se comporte de telle façon. Mon étude des phénomènes sonores de la Nouvelle-France à partir des sources écrites m'a amené privilégier une approche multidisciplinaire, qui tire parti de résultats obtenus dans d'autres champs scientifiques et souvent lors de travaux ouverts et décloisonnés.
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Former un patrimoine commun : retour réflexif sur une recherche collaborative en milieu hospitalierMarie-Charlotte FRANCO (UQAM - Université du Québec à Montréal), Marie-Ève Goulet (UQAM - Université du Québec à Montréal)
À l'aube de grands changements, certains complexes hospitaliers souhaitent estimer le potentiel patrimonial de leurs établissements. À ce titre, le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) s'est associé au programme de muséologie de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) afin d'évaluer le patrimoine de ses trois grandes institutions montréalaises, l'hôpital Saint-Luc, l'Hôtel-Dieu et l'hôpital Notre-Dame. Intégré au séminaire obligatoire Collections et Conservation, ce projet de recherche collaboratif a permis aux étudiants d'appréhender ces dernières dans leurs dimensions historique, architecturale, artistique, ethnologique et scientifique. Il s'agira dans cette communication de revenir sur ces trois années de recherche et d'en présenter les faits saillants d'un point de vue patrimonial et humain. Bien plus qu'un lieu de soins, l'hôpital est également le théâtre de la vie, sans filtre, où le patrimoine matériel s'est finalement avéré un prétexte aux témoignages et aux pratiques propres aux lieux et à ses communautés. Ainsi, de cette construction commune qu'est le CHUM, les recherches ont permis de mettre en valeur un patrimoine hospitalier hétérogène qu'il conviendra d'étudier sous toutes ses facettes, en gardant toutefois à l'esprit sa dimension immatérielle comme composante essentielle à notre réflexion.
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Discussion
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Mot de clôture