85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Máire Noonan
Colloque : 310 - Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Ievgeniia Kybalchych
Colloque : 310 - Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Mireille Tremblay
Colloque : 310 - Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : John Lumsden
Colloque : 310 - Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Éric Mathieu
Colloque : 310 - Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Andréia De Souza
Colloque : 310 - Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Brandon J Fry
Colloque : 310 - Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Christophe Mauro
Colloque : 310 - Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Kouakou Kouame
Colloque : 310 - Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Heather Newell
Colloque : 310 - Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Laurie Thivierge Côté
Colloque : 310 - Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Richard Compton
Colloque : 310 - Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Lisa Travis
Colloque : 310 - Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Gabriel Côté
Colloque : 311 - Preuve, témoignage et vérité : congrès annuel de la Société de philosophie du Québec
La traduction du mot grec pseudos par le latin falsum a, selon Heidegger, eu de lourdes conséquences sur le déploiement de l’histoire occidentale. Alors que to pseudos a le caractère de la dissimulation (et est donc un mode d’un cèlement plus originaire), le falsum a le caractère d’un faire tomber. Ainsi, le contraire du falsum est pour les romains verum, une tenue droite, une clôture. La vérité conçue comme verum est donc tout le contraire de l’aletheia grecque, un décèlement rendu possible par une ouverture. Une telle mutation de l’essence de la vérité a eu des répercussions sur l’ensemb…
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Maud Brunet-Fontaine
Colloque : 311 - Preuve, témoignage et vérité : congrès annuel de la Société de philosophie du Québec
Émile Faguet, grand critique littéraire du XIXe siècle français, écrivait au sujet de Denis Diderot que « plus qu’un autre, il représente quelque chose : l’individualisme du XVIIIe siècle s’appliquant enfin franchement et insolemment à tout, pour tout détruire, […] ne laissant debout que l’homme avec ses instincts, tenus pour bons ; dissolvant la communauté humaine, sous forme de pensée commune dans l’espace, sous forme de pensée traditionnelle dans le temps. » Plusieurs commentateurs associent d’ailleurs toujours l’individualisme aux penseurs du XVIIIe siè…
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Marianne Di Croce
Colloque : 311 - Preuve, témoignage et vérité : congrès annuel de la Société de philosophie du Québec
La distinction que Hannah Arendt trace entre le social et le politique constitue un élément fondamental de sa pensée et de la critique des sociétés modernes qui traverse l’ensemble de son œuvre. S’appuyant sur la distinction public/privé qui était au cœur de la polis grecque, la philosophe conçoit le social comme une « extension publique » du privé et dénonce le fait que les considérations d’ordre privé - tout ce qui touche aux nécessités de la vie, à la famille, à l’économie, aux sentiments, etc. – aient fait intrusion dans la sphère publique.
Or, cette distinction entr…
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Lara Harwood-Ventura
Colloque : 311 - Preuve, témoignage et vérité : congrès annuel de la Société de philosophie du Québec
Le seizième siècle vit l’émergence d’ouvrages défendant la dignité du sexe féminin dans le cadre de la querelle des femmes en Italie. Bien que la plupart d’entre eux eussent été écrits par des hommes, en 1600, l’auteure vénitienne Lucrezia Marinella publia La nobiltà, et l’eccellenza delle donne, co’ diffetti et mancamenti de gli huomini [La noblesse et l’excellence des femmes, et les défauts et vices des hommes]. Ce traité, divisé en deux parties, fut écrit en réponse à un ouvrage profondément misogyne: I donneschi difetti [Les défauts des femmes
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : André Duhamel
Colloque : 311 - Preuve, témoignage et vérité : congrès annuel de la Société de philosophie du Québec
Les appels à une société du care remplacent parfois ceux à la société juste dans les discours électoraux. Ces exhortations sont-elles une rhétorique propre à ces de discours, ou une politique du care est-elle susceptible de représenter une véritable utopie pour notre temps ? Nous voudrions répondre à cette double question en nous appuyant sur les développements de l’éthique féministe du care, qui sont depuis Tronto consacrés à soutenir « a political argument for an ethic of care ». Dans cette optique, on peut voir dans ces exhortations un réel « souci », mais qui ne dépas…
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Marie-Anne Casselot-Legros
Colloque : 311 - Preuve, témoignage et vérité : congrès annuel de la Société de philosophie du Québec
Douter constitue l’interruption d’une volonté ou encore la suspension d’un jugement. Pourquoi les filles doutent-elles ? Qu’est-ce qu’un doute « féminin » ? Douter de soi, c’est se questionner sur ses propres capacités (physiques ou intellectuelles) ou encore manquer de confiance en soi. Le doute subjectif des femmes les entrave, il a été acquis par la socialisation de genre, il fait donc partie de leur être-au-monde actuel. Douter de quelqu’un veut dire ne pas lui faire confiance ou encore remettre en question son authenticité. À qui accorde-t-on sa confiance ? …
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Maxime Huot Couture
Colloque : 311 - Preuve, témoignage et vérité : congrès annuel de la Société de philosophie du Québec
Comment caractériser un raisonnement proprement pratique ? Il revient à Aristote d’avoir mis en lumière la structure du « syllogisme », démonstratif et pratique. Nous verrons toutefois que, en ce sens strict du terme sullogismós, on ne peut l’attribuer au raisonnement pratique, sinon par analogie. Or cette proximité terminologique ainsi que la variété des exemples de raisonnements pratiques donnés par Aristote ont mené à quelques divergences d’interprétation sur la structure et la nature exactes du raisonnement qui concerne l’action. À travers une étude des textes et des principau…
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Alexandre Riel
Colloque : 311 - Preuve, témoignage et vérité : congrès annuel de la Société de philosophie du Québec
Le Court Traité (vers 1660) est considéré comme l’un des premiers écrits de Spinoza. La première partie de cet ouvrage peut être rapprochée du premier livre de l’Éthique (1677), l’œuvre maîtresse de Spinoza. L’étude consistera à déterminer quelles sont les influences cartésiennes dans la philosophie de Spinoza. D’une part, dans le Court traité, la pensée du philosophe semble encore incertaine en ce qui a trait aux concepts de substance et d’attribut. En plusieurs endroits, notamment dans le Court traité et les premières lettres, les termes « sub…
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Gilles Beauchamp
Colloque : 311 - Preuve, témoignage et vérité : congrès annuel de la Société de philosophie du Québec
En 2008, James Kraft et David Basinger ont publié un collectif sur l'humilité épistémique comme base pour la tolérance religieuse. Cette conception de la tolérance repose sur le problème de la justification épistémique des croyances religieuses et des religions. Selon cette approche, le manque d'un terrain commun d'évaluation des différentes religions pose un sérieux problème et devrait empêcher un croyant de croire que sa religion est suffisamment justifiée pour l'imposer à l'autre.
Selon Philipp Quinn et David Basinger, le problème de la justification des croyances religieuses …
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : David Montminy
Colloque : 311 - Preuve, témoignage et vérité : congrès annuel de la Société de philosophie du Québec
L'avènement des sciences computationnelles et des technologies de l’information (TI) pose bon nombre de problèmes pour la philosophie des sciences. Le cas de l’apprentissage-machine est particulièrement intéressant, car il réactualise certains débats sur la méthodologie scientifique et la valeur épistémique de diverses expériences et observations. Les innovations dans ce domaine amènent notamment un nouvel éclairage sur le débat entre l’inductivisme et le falsificationnisme (Allen 2001; Wheeler 2016), ainsi que sur l’universalité de certaines heuristiques remettant en question directement …
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Dionne Antoine
Colloque : 311 - Preuve, témoignage et vérité : congrès annuel de la Société de philosophie du Québec
Notre communication a pour but d’examiner la possibilité de traduire la notion de plénitude, telle que formulée par Charles Taylor dans L’Âge séculier, en terme politique. Nous réfuterons d’abord (1) l’interprétation selon laquelle la plénitude taylorienne est une notion strictement religieuse, pour ensuite considérer deux traductions politiques de celle- ci, soit la solidarité et la fraternité. Nous défendrons (2) l’idée que la fraternité se rapproche davantage de la plénitude taylorienne que la solidarité, car elle insiste notamment sur les deux exigences suivantes : la nécessité d’un tr…
85e Congrès de l'Acfas — Communication orale
Auteur : Jordan Girard
Colloque : 311 - Preuve, témoignage et vérité : congrès annuel de la Société de philosophie du Québec
Les généralisations génériques se manifestent sous forme de phrases telles que « Les tigres sont rayés », « Le tigre est rayé » ou « Un tigre est rayé ». Leur caractéristique essentielle est d’attribuer une propriété aux membres d’une catégorie, mais on les reconnait aussi à leur tolérance envers les exceptions, et à leur mutisme quant au nombre de membres concernés. Intrigués par ces caractéristiques, les philosophes ont tenté de formaliser la sémantique des génériques, mais sans réel succès. Les travaux en psychologie montrent toutefois que ces énoncés jouent un rôle privilégié dans le l…