Finaliste
Sylvain Chateau, Sébastien Poncet, Julien Favier et Umberto D’Ortona
UdeS - Université de Sherbrooke
Se propulser par battement ciliaire
Des cils minuscules tapissent les parois de nos organes internes. En bougeant, ils font circuler les fluides. On parle alors de propulsion par battement ciliaire. Dans le système respiratoire, les cils baignent dans du mucus qui piège les déchets respirés. Ces cils organisés en mouvement ondulatoire orientent les sécrétions vers la sortie. Les personnes asthmatiques, elles, ont moins de cils, ce qui affecte l’expulsion du mucus. Ici, les chercheurs réalisent une simulation pour comprendre l’interaction entre les cils. les microfilaments baignent dans une sorte de lubrifiant, en bleu, qui permet au mucus, en rouge, de glisser facilement dessus.